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La technique Ho’oponopono et les affirmations positives vous brouillent le cerveau

technique Ho'oponopono et les affirmations positives vous brouillent le cerveau

Vous êtes bloqué dans votre vie, dans une impasse, envahi par un problème qui vous trotte sans cesse dans la tête et qui vous prend le chou…

Et dans votre recherche à comment vous débarrasser de cet envahisseur, vous avez certainement entendu parler et testé le fameux Ho’oponopono, ainsi que les affirmations positives ?!?

Dans cet article, je vous propose de ressentir ce qui se passe dans votre corps, quand vous utilisez ce genre de pratique. Je vous invite aussi à modérer leur usage selon votre ressenti…

Je partage aussi avec vous mon processus de nettoyage, pour éliminer la toxicité de votre vie, à la racine, sans vous brouiller le cerveau…

Pour vous éviter ainsi une grosse crise de vie, de vous en prendre plein la poire… parce que depuis quelques années si on ne se nettoie pas en profondeur, ça dégénère…

Cet article est aussi la suite de, ces croyances et ces programmes limitants qui vous bouffent la vie. Cliquez ici

Je me permets de me faciliter l’écriture et de vous faciliter la lecture, en adoptant la version courte de  Ho’oponopono. Ca me prend au moins 20 secondes à chaque fois, pour arriver l’écrire dans les règles de l’art, alors je vous propose Hopo… et dans ma démarche de simplification, j’espère n’offenser personne…

Cet article a été écrit dans le carde de la Croisée des Blogs, organisée par le site, http://developpementpersonnel.org

En train d’étouffer dans ma vie et Hopo s’est manifesté

Il y a 8 ans, j’en avais gros sur la patate, j’étais une âme en peine… Cette phase de vie où on est bloqué face à un mur et ainsi invité à faire face à son ombrage…

Et afin d’éclaircir à nouveau ma vie, je testais toutes les techniques, méthodes et antidotes de nettoyage et de débroussaillage qui me tombaient sous la main. Et un jour, le Hopo s’est présenté à moi par mail.

J’ai imprimé le mode d’emploi, le fameux : « je suis désolé, pardonne-moi, je te remercie, je t’aime ». Il était suggéré de penser à l’embûche de sa vie et ensuite de répéter quelquefois cette phrase.

(Depuis j’ai remarqué que d’autres variantes sont suggérées, du style : je m’excuse, pardon, merci, je t’aime, ou juste pardon et je t’aime… et co… Sur la toile, le Hopo c’est devenu une jungle ;-))

Ma première réaction a été :  » Hein, je suis désolée ?!? Etre désolé, c’est quand on a fait quelque chose de «  faux ou de mal » et qu’on s’en excuse?!? Oui, mal c’est sûr, je suis mal, sans vie telle une fleur séchée, mais je ne suis en tout cas pas désolée… »
Et pardonne-moi, demander pardon à qui ? Merci, ben non… non merci plutôt… Je t’aime ? Un peu, beaucoup, passionnément, à la folie ?!? ».

Le mode d’emploi contenait également une décapante histoire d’un psychologue hawaïen. Celle du Dr. Len, qui avait utilisé cette technique sur lui pour soigner, avec succès, de dangereux prisonniers. Ce qui en avait rajouté à ma confusion…

En gros, le hopo, je ne le sentais pas… Rien que d’y penser, ça me restait coincé en travers de la gorge. Mais, quand même motivée par un désespoir profond, et sans creuser plus loin, j’ai tenté l’expérience.

Mon expérience hopo s’est déroulée en un balbutiement sans conviction… et des résultats qui comptaient pour des prunes.

Quelques années plus tard, après avoir enfin pu débroussailler mon mal-être, j’ai eu envie de me replonger dans l’aventure hopo. Mais cette fois, par envie de comprendre pourquoi tant de gens sont convaincus de son efficacité.

Mon enquête hopo

Dans le dictionnaire hawaïen, le  hoʻoponopono est défini comme : « une purification spirituelle, un acte de repentance et de pardon mutuel qui consiste en une réunion familiale, durant laquelle les relations sont rétablies par des prières. »

Le mot hoʻoponopono se compose de hoʻo qui signifie « commencer une action », de
pono qui signifie « honnêteté, moralité, action juste, excellence, prospérité, état naturel, devoir, équitable, droit, approprié, soulagé, nécessaire », et de ponopono  qui signifie « remettre en ordre, retravailler, harmoniser, corriger, régulariser, nettoyer et agir correctement. »

Alors qu’est-ce que le hopo ? Entre le hopo communautaire hawaïen d’origine et le hopo individuel, francisé, transmis aujourd’hui, c’est à y perdre son latin…

Le Hoʻoponopono, le regret de nos péchés…?!?

Selon Larousse, repentir : manifester un regret sincère de ses péchés, de sa faute, accompagné de l’intention de réparer… c’est pour ça qu’on doit dire : je suis désolé, et pardonne-moi ?

Je suis allergique au mot péché…  Oui, je pense que tout être humain sur cette terre a commis, à un moment donné de sa vie, une action qui pourrait être  » jugée de mal » . Je suis aussi prête à reconnaître que je ne suis pas une sainte… 😉

Par contre, je pense que chacun de nos actes « malheureux » est motivé, en arrière-plan, par nos blessures, traumatismes et croyances… J’ai cette idée qu’à chaque instant, on fait du mieux qu’on peut avec les moyens qu’on a.

Je perçois l’être humain comme bien intentionné à la base, c’est juste l’expérience de la terre qui fait qu’on s’est oublié. L’oubli de qui on est, de notre nature divine… Ce qui ne veut pas dire qu’on peut faire tout et n’importe quoi, car selon moi d’être limité dans notre conscience n’enlève pas la responsabilité de nos actes.

Selon Larousse, pardon : le fait de ne pas tenir rigueur d’une faute ; rémission d’une offense, accorder son pardon.

Le Hopo est basé sur l’idée qu’on est responsable de tout ce que l’on vit ; notre réalité extérieure est le reflet de notre réalité intérieure. Alors quand on a un pépin dans notre vie c’est nous, et nous seul qui avons créé cette situation… qui est une invitation personnelle à grandir…

Même si on est dans une situation épineuse avec une personne, on en est seul responsable, alors qu’on pourrait être tenté de désigner l’autre comme étant le « coupable ».

Mais ensuite de demander le pardon ou de se pardonner soi-même, n’est-ce pas une tentative de se laver les mains de son acte ? Oui selon Larousse…

Je pense que la seule façon de prendre l’entière responsabilité de sa vie, c’est de se salir les mains et d’aller creuser plus profond. D’aller déterrer la mémoire du pépin, dans ses vies antérieures, vies ailleurs et contrats d’âme… pour éviter que « nos actes malheureux » se reproduisent…

Selon l’hopo et d’autres avis sur la question, on n’a pas besoin de connaître le pourquoi de ce que l’on vit pour le nettoyer… pourquoi se fatiguer à creuser ? Chacun sa vision des choses, mais d’éviter la transpiration n’a pas fonctionné pour moi…

Avec le, je suis désolée et le pardonne-moi, je me retrouve genoux à terre…

Oui, je suis quelqu’un d’hyper sensitif, c’est difficile pour moi d’ignorer ce qui se passe dans mon corps…

Si je dis  « je suis désolée » , au niveau de mon ressenti, j’ai cette impression qu’une partie de mon corps s’effondre, comme si je me pliais en 2… et j’ai cette vision de moi en train de faire une courbette…

Et vous, comment vous sentez-vous quand vous dites, « je suis désolé » ?

Avec le pardonne-moi, j’ai ce ressenti de me retrouver à genoux, en train d’implorer…

Pour moi c’est clair que, si je pratiquais régulièrement le repentir, à long terme, je m’en prendrais plein la poire… Je développerais certainement des soucis de chevilles foulées, d’usure de genoux et de hanches, et des difficultés à m’imposer et à me stabiliser dans ma vie…

Une maladie est la manifestation de nos ressentis et une invitation à s’aligner à notre conscience…

Oui, mais parfois on «  doit » bien être désolé, par rapport aux autres… Si on agit comme un cornichon, on est quand même obligé de présenter des excuses, on est sensé être civilisé quand même ?!?

Grande question et pas de réponse… Là c’est une des règles du savoir-vivre qui serait remise en cause.  Faire une fleur à l’autre pour éviter le roussi ?!?  Ou peut-être énoncer un : «  Note que je prends la responsabilité de mon acte et que je vais faire en sorte que ça ne se reproduise plus…

Je t’aime, moi non plus… Et merci…

C’est la fin des haricots, je suis dans la M jusqu’au cou et je suis sensée dire merci et je t’aime ?!?
J’ai cette impression de faire semblant, de me forcer à dire quelque chose que je ne ressens pas au fond de moi… Et ça me donne la nausée, c’est comme si on me faisait avaler du brocoli, je n’aime pas…

Dire merci à un truc qui me pourrit la vie, je peux le faire… Mais seulement le jour où je sais pourquoi il est planté là, quelle en est sa finalité… Le seul fait de savoir que cette difficulté dans ma vie est là pour permettre d’éclore, ne me suffit pas…

De faire semblant de dire merci à une calamité dans sa vie, je pense qu’on l’amplifie encore plus… C’est comme de mettre de l’engrais sur une touffe de mauvaises herbes…

Et au fait je m’adresse à qui, Dieu ?

Et quand je récite ma formule hopo ? Je parle au pape, à l’univers, à Dieu ? Oui, Dieu ou la source, si je capte bien les propos de M. Len, le fameux thérapeute hawaïen:  « Il est impératif de comprendre que la personne qui pratique le processus Ho’oponopono ne guérit rien, et par contre,  Ho’oponopono est le procédé qui permet à la Divinité, qui a tout créé et qui sait tout sur tout, d’annuler les mémoires que nous vivons comme problème ».

Dit comme ça, ça ressemble étrangement à une confession catholique : on n’a rien compris de ce qu’on a vécu, mais on peut demander pardon à Dieu qui, espérons-le, va tout annuler comme si de rien n’était ?!?

Ou alors M. Len fait allusion à notre divinité intérieure, notre conscience supérieure ? Sur le net, j’ai aussi trouvé d’autres interprétations du hopo, qui disent qu’on s’adresse à la mémoire directement…

Moi à la base, j’adhère à la « théorie psy », qui dit que pour pouvoir résoudre un pépin dans sa vie, il faut comprendre pourquoi il est là, comment il s’est créé… qu’il faut aller fouiller…

Après, je rejoins M. Len, dans ce sens qu’il faut s’adresser à sa conscience supérieure, cette partie de nous qui sait, et non pas à sa tête…

Ce qui se fait en quelques secondes, pas besoin de remuer toute sa boue, tout son passé… Chercher à comprendre avec son mental, c’est comme chercher une aiguille dans une botte de foin…

Et je rejoins ensuite cette idée que pour nettoyer une mémoire il faut s’adresser à elle, se relier à sa vibration. Mais que le nettoyage se fait uniquement si on est conscient du pourquoi, si on a compris l’enseignement….

Jouer le jeu hopo en suivant les règles…

J’ai émis cette ferme intention de tenter à nouveau l’expérience hopo comme prodiguée, et donc de faire abstraction de mes ressentis, mes perceptions, ma façon de voir le monde…

J’ai pensé à un événement de ma vie où j’en ai vu des vertes et des pas mûres et j’ai joué le jeu ; j’ai récité la formule en essayant d’y mettre tout mon cœur, mon âme, mes tripes…

Au bout d’un laps de temps, je n’ai pas pu ignorer le fait que je commençais sérieusement à avoir le tournis… Alors je me suis arrêtée, et j’ai dû respirer profondément  pour pouvoir reprendre mes esprits.

Ensuite, j’ai essayé de repenser à cet événement. Et oui, force était de constater qu’il semblait loin, distant, difficilement accessible, cette impression d’avoir perdu le chemin ?!?

Je confirme donc que l’hopo, ça n’est pas des salades, dans ce sens que ça permet d’effacer, en partie ou complètement ? les circuits neuronaux liés à une mémoire ? Pas mal de gens rapportent que le problème réapparaît dans leur tête et dans leur vie après un certain temps…

Et le fait qu’on ne puisse plus accéder à une mémoire, ne veut pas forcément dire qu’elle a complètement disparue ?!?

L’hopo me fait beaucoup penser à l’EFTque j’ai testé aussi. A chaque fois je me sentais mal, j’avais le ventre barbouillé et l’impression d’avoir été court-circuitée… et l’EMDR par contre je n’ai pas testé… mais ça me semble dans la lignée… ?!?

La technique ho'oponopono et les affirmations positives vous brouillent le cerveau

Mauvaise herbe croît toujours…

Là c’est une conclusion très personnelle, vous prenez si ça raisonne, autrement vous jetez aux oubliettes…

L’hopo, comme je crois avoir compris que ça fonctionne, je pense que c’est un outil utile. Si on est submergé par une histoire, j’ai cette impression que provisoirement ça permet d’arrêter de ruminer et de reprendre son souffle… Mais d’un autre côté ça nous éloigne aussi du problème…

En ce qui me concerne, l’hopo et co ayant échoué, je n’ai pas eu d’autres choix que de faire face, de sortir ma machette pour aller tracer mon chemin plus en profondeur dans ma jungle intérieure…

Honnêtement, hopo je le perçois comme un moyen de déplacer la touffe de mauvaises herbes qui est devant notre porte, pour aller la planter au fond du jardin… c’est aussi comme d’enlever un pissenlit sans sa racine…

Si vous avez un jardin, je pense que vous avez vécu le : après avoir passé des heures à tous les  extraire, on est super fière, parce qu’on se dit qu’on leur a fait la peau à tous ces envahisseurs…  Mais quelques jours plus tard, après une abondante averse, les trèfles sont de retour…

Creuser c’est la seule solution…

Pour extirper définitivement « le mal », je pense qu’on a pas d’autres choix que de creuser jusqu’à la racine de la situation, d’en prendre conscience. Donc se retrousser les manches, ne pas avoir peur de se salir, et aller explorer ses vies antérieures, son plan de vie et ses contrats d’âme

Et quand on a compris avec son cœur, on peut nettoyer la racine, la transmuter… et planter de belles fleurs dans son jardin… Je ne suis pas convaincue du : se forcer à dire je t’aime, pour nettoyer…

Si vous essayez de planter des tulipes, des roses et des narcisses parmi les mauvaises herbes, les pauvres vont finir étouffées…

Après avoir terminé d’écrire l’article, j’ai fait de plus amples recherches sur le hopo d’origine, et je suis  contente d’avoir trouvé ce qui suit sur Wikipédia:

Le procédé d’origine se fait en groupe et consiste en une prière, ensuite les problèmes et les offenses sont discutés. L’idée s’est de travailler les problèmes et non de s’accrocher aux fautes. Il faut réfléchir aux confusions émotionnelles et aux offenses commises. Plusieurs minutes de silence sont tenues, puis suivent les reconnaissances des fautes… Chacun lâche l’autre et tous les participants se libèrent des problèmes et terminent la séance par une cérémonie festive…

Le hopo d’aujourd’hui est individualiste mais aussi très simpliste. Il fait abstraction de cette partie qui consiste à travailler, à réfléchir à l’origine du problème… ?!?

Affirmations positives, je m’aime alors que je ne m’aime pas…

Je conçois les affirmations positives un peu comme l’hopo, une façon de se détourner du vrai problème. Avec en plus le risque de planter de nouvelles mauvaises herbes, de se créer de nouveaux programmes limitants…

Vous avez décidé de cultiver votre amour de soi, parce que vous vous rendez bien compte que de commencer la journée en disant :  « je me déteste, j’ai l’air d’une asperge… » ou « je déteste mes oreilles en feuille de choux » ça n’est pas très positif.  Et vous avez lu quelque part, que de prendre du temps à affirmer : « j’aime mon corps » ça allait rétablir la situation…

Si vous êtes régulièrement à réciter des affirmations qui ne sont pas alignées à votre ressenti, vous allez vous créer d’autres blocages. Au départ on avait le, je déteste de quoi j’ai l’air, et maintenant en plus on a le, j’aime mon corps… ou l’art de planter une mauvaise graine ?!?

Et comment savoir si une affirmation est positive pour soi ? Si je dis concombre, je sens que mon corps est content, je salive… Si je dis brocoli, ça me donne la nausée, je sens que ça n’est  pas un légume qui me correspond, et cette odeur de soufre 🙁

A votre tour… vous pouvez aussi le faire avec des fruits, ou tout simplement avec le oui et le non. Demandez à votre corps quel est son oui, ensuite vous ressentez  et observez sa réaction, et vous faites de même avec le non… ou lire cet article.

Et comment fait-on quand on déteste de quoi on a l’air ? Vous pouvez écouter cet audio sur l’amour de soi que j’ai créé et je vous invite à aller creuser…

Il y a dans votre vécu un événement qui fait qu’aujourd’hui, vous n’assimilez pas la nourriture, même si vous manger 3x plus que tout le monde…. ou qui fait que vous avez 15 kilos en trop, même que vous êtes au régime salade verte toute l’année…

Et la pensée positive ? C’est mieux de voir du rose plutôt que du noir, non ?

Au « il faut penser positif », j’y vois deux aspects négatifs… selon les dires ; si on pense positif, on attire du positif, si votre vie est telle un compost, c’est que vous pensez négatif…

Mais quel stress d’être toute la journée en train d’essayer de penser positif, de voir une rose à la place d’un cactus…  Et en plus, on est de nouveau en train de mettre le paillasson sur la touffe de mauvaises herbes devant sa porte… Et en train d’ignorer l’inconfort qui est un précieux message de notre âme…

Voir du rose quand il y en a, je dis oui… ça nous maintient dans une vibration positive. Mais c’est important aussi de faire face au noir quand il se présente…

Ces affirmations de pouvoir, suggérées par l’âme

Si vous avez déjà eu une séance Ofessens, vous allez peut-être me dire : oui mais tu nous donnes des affirmations à réciter après la séance…

Quand on a enlevé les mauvaises herbes dans son jardin, l’idée ensuite c’est de planter des fleurs, parce que sans ça les mauvaises herbes vont réapparaître…

Alors on s’aligne à son ressenti et on se demande : « quelles sont les fleurs et les senteurs qui me font vibrer? Les pétunias, les crocus et les jacinthes…  » . Ensuite on va acheter des bulbes, des plantons, on les met en terre et on les arrose de temps en temps.

Cultiver nos dons, nos talents, qui on est, c’est comme cultiver son jardin…

Exemple : J’ai mal aux mains, je n’arrive presque plus à les bouger… On interroge l’âme qui dit que c’est lié à la vibration du : ne pas savoir comment empoigner sa vie, qui a pris racine dans l’enfance, « ma fille tu dois être une petite fille modèle et tu dois faire comme ci et comme ça ». On nettoie, on transmute et on remplace ce programme limitant par cette affirmation : c’est moi qui dirige ma vie… Et on intègre le ; je suis une artiste, parce que ce sont des mains de sculpteuse !:-)

Donc des affirmations, oui… mais l’idée c’est d’interroger son âme, sa conscience supérieure sur ce qui serait bénéfique à intégrer dans sa vie. De réciter des affirmations de quelqu’un d’autre ou des affirmations trouvées dans un bouquin, c’est comme si vous encombrez votre jardin avec des plantes qui ne vous correspondent pas.

En 2015, la desherbologie, ce n’est  plus une option…

Aujourd’hui on a l’occasion de faire du nettoyage à fond, dans les moindres petits recoins de notre être… Ce qui n’était pas le cas il y a quelques années…

Sur terre, avant 2012, c’est comme si on était dans un nuage noir. On était coupé de notre guidance supérieure, et c’était difficile d’être conscient de sa réalité. Le nettoyage se faisait beaucoup à l’aveuglette, on brassait sous terre sans savoir vraiment où on mettait les mains…

Maintenant que le taux vibratoire de la terre a augmenté, on peut intégrer notre conscience supérieure et ainsi se mettre en lien avec la racine de nos blocages. Article sur l’ascension.

On a 2 fleurs identiques, mais une reçoit plus de soleil que l’autre… laquelle va devenir plus grande ?

En fait aujourd’hui, on en est même au stade où on est invité à faire face à notre toxicité. Qui est-ce qui ne s’est pas pris une motte de terre en pleine figure dernièrement ? C’est l’hécatombe crises de vie et pertes en tous genres… Les aspects de notre vie qui sont étouffés, sont mis en lumière…

Les bienfaits d’un nettoyage à fond de nos plates-bandes, de nos mémoires…

Sans nettoyage…

  • On est privé de nos perceptions extra-sensorielles et de notre intuition… difficile de parler aux arbres, aux gnomes, à sa guidance…
  • On n’a pas la possibilité d’intégrer notre conscience supérieure, c’est comme une carotte sans fane, elle ne reçoit pas de soleil et va rester toute petite…
  • On ne peut pas suivre la terre dans son processus d’évolution… On va être au ralenti, telle une tortue, avec le risque d’être bloqué dans sa carapace à broyer du noir et manquer d’air. Dans le pire des cas, on va quitter prématurément la planète…
  • On est malade et on vieillit plus rapidement… comme une pomme flétrie…
  • On n’est pas dans cet état de neutralité, de bien-être… mais on est stressé, angoissé, anxieux, apeuré… pressé comme un citron…
  • On ne peut pas intégrer nos dons, nos talents, être aligné à notre mission de vie… on est une fleur triste sans pétales…
  • On n’arrive pas à vivre sa vie selon ses envies, ses ressentis…. On va toujours se soucier des autres…
    Est-ce qu’une fleur demande à ses voisines si elles la trouvent belle ?
  • On fait du sur place dans sa vie, on est bloqué… on tourne en rond dans son jardin envahi par de plus en plus de mauvaises herbes…

La recette pour un  nettoyage en profondeur, l’extermination… le hopo façon Ophélie…

La vie m’a invitée à développer ma propre technique, qui est devenue Ofessens…

Voilà le processus, l’idée c’est d’être détendu et centré avant de commencer. Vous pouvez par exemple prendre quelques respirations…

L’intention : émettre l’intention que ce moment est destiné au nettoyage des programmes qui me limitent dans ma vie.

L’identification : Où est-ce que je suis bloqué dans ma vie ? Qu’est-ce qui m’énerve, me hérisse… quelles sont mes peurs, mes émotions négatives… ce qui vous fait ruminer… qu’est-ce qui n’est pas aligné à qui je suis ?
Pour cette démo, on va prendre l’exemple : je suis toujours fauché comme les blés…

Le ressenti : Où est-ce que le « fauché comme les blés est dans mon corps ». Tout programme limitant a une empreinte dans votre corps. Votre attention va être dirigée à cet endroit.

La reliance : Vous vous connectez à cet endroit, vous respirez, vous vous mettez en lien, en reliance avec lui.

La signification : Vous demandez à cette vibration quel est son message, qu’est-ce qu’il y a derrière le  « je suis fauché ». Vous écoutez la réponse : vous ressentez, visualisez, entendez… « je ne vaux rien, je suis incapable… »

La source : vous demandez à votre âme, quelle est l’origine du » je ne  vaux rien ». Une leçon à apprendre, un trauma de cette vie, d’une vie antérieure, d’une vie sur une autre planète, un contrat d’âme, le plan de vie…  c’est d’avoir été esclave dans une vie antérieure ou d’avoir entendu le, tu es nulle, dans l’enfance…

La reconnaissance : quand vous avez reçu une réponse, vous passez quelques secondes en conscience avec cette vibration, c’est comme de dire ok j’ai compris…

La transmutation : vous transmutez cette énergie source, et vous sentez que votre corps  se libère, vous respirez, vous relâchez…

L’intégration : vous demandez à votre âme, qu’est-ce que je mets à la place ? Et vous intégrez le «  Je m’estime à ma juste valeur… »

Le signe d’un bon nettoyage, c’est cette impression de trou, de vide… et c’est justement l’occasion de le remplir avec ce que vous souhaitez dans votre vie. Pratiquer le renouveau, qu’est qui demande à émerger, quels sont mes dons, quels sont mes talents ? Qui suis-je ?

Conclusion

Le hopo, comme il est proposé aujourd’hui, ne semble pas être fidèle à la tradition d’origine, c’est devenu une salade mêlée ou chacun y met sa sauce, difficile de s’y retrouver…

Mais d’un autre côté, on a tous notre propre ressenti et je pense que c‘est à chacun de traiter ses plate-bandes comme il le souhaite.

Par contre, je pense que c’est important de se poser la question : « est-ce que je veux continuer à étouffer mes problèmes ? » Ce qu’on fait aussi avec des médicaments… Ou alors, je prends le taureau par les cornes et je décide de me remonter les manches.

Parce que oui, la technique que je propose demande plus d’engagement que de réciter une formule…

Mais la bonne nouvelle, c’est que depuis décembre 2012, on a accès à de nouvelles ressources, notre conscience… Le nettoyage est  facilité aujourd’hui. A lire l’article, la vérité sur 2012.

Et oui, ça à l’air compliqué comme ça, mais c’est une question d’habitude, comme un muscle ça s’entraîne… et vous pouvez aussi appeler à l’aide. Je suis à disposition pour vous assister lors de votre nettoyage, parce que seul on n’a pas toujours une vision neutre et globale de sa situation. Séances Ofessens

Honnêtement, je pense qu’au final de gérer quotidiennement ses blocages, ça prend plus d’énergie que de les nettoyer une fois pour toute . Et si vous ne le  faîte pas dans cette vie, ils reviendront dans la prochaine…

Je me suis quand même décidée à lire le, zéro limite de Joe Vitale, avant de publier cet article. Parce que Joe à la base, est la personne qui a transmis les enseignements du Dr. Len au reste du monde. Et aussi parce que je marche sur du charbon ardant avec cet article. Et en fait, d’avoir lu ce livre, m’a confortée dans ma position…

Remerciements

Immense merci à l’organisatrice de cette session de la croisée de blogs, Katibel du blog, Forme et bien-être. Pour consulter l’article de lancement, la croisée des Blogs-avril 2015.

A votre tour

Le débat Ho’oponopono est ouvert Est-ce que vous pratiquez le hopo ? Et quelle est votre technique de nettoyage préférée ?

Des amis qui sont en train d’étouffer dans leur vie ? Merci de partager avec eux !

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  • Lucie 6 mai 2022, 3 03 48 05485

    et bien j’ai une toute autre interprétation de hoponopono..
    c’est comme si j’avais créé une situation et j’y entre plein dedans. comme pour moi comprendre ma vie mes patterns. alors je dis…
    suis désolée d’avoir créer n’en faitv entrer ds cette situation. …..pardon..merci d’être revenue à ma mémoire. que javais ce probleme ….. je t’aime, (,situation et personnes concernees)..
    je m’aime. de découvrir comment je vis ça et que je peux nettoyer ces mémoires.
    voilà comment je vis hoponopono.
    je prends la totale responsabilité de m’être mise ds cette situation afin sans doute de découvrir qui je suis….et de voir comment le pattern se répète. et nettoyer et en prendre conscience.
    voila.

  • kerkine 7 mars 2021, 11 11 20 03203

    En lisant « la bienveillance arme absolue » de Didier Van Cauwelaert, je suis tombé (sans me faire mal ? pas vraiment !!!) sur ses pages relatives à ho’oponopono.
    Déjà, comme quoi, les « anciens » n’ont pas eu besoin de Freud, Jung, etc… pour comprendre et la nature humaine et le monde… d’une certaine façon.
    Ensuite… c’était la nuit (vraiment la nuit, ce moment pendant lequel on rêve, on réflechit, etc…) ; et là, une « découverte » : mais enfin…. n’est ce pas ce que Jesus Christ est venu faire sur terre, porter sur lui toute la misère du monde ? Que l’on ne se trompe pas, je ne fais pas de prosélytisme, je ne fais que citer (à peu près) !
    Ensuite, ensuite (encore) j’ai eu le bonheur de voir votre long article. Il m’a BEAUCOUP, BEAUCOUP plu. La démarche, sincérité de la démarche… Mais la démarche, les réflexions de certains correspondants qui se « retrouvés » dans celle-ci m’a fait penser « m’enfin… ne serait ce pas que notre habitude CARTESIENNE nous fait couper les cheveux en quatre » ? Certainement que beaucoup, au premier degré « font marcher » le système » parce qu’ils ne sont pas étouffés par les raisonnements… Et c’est très bien !
    Mais pour ceux qui ne peuvent pas s’empêcher de raisonner, dont l’esprit, pour ne pas dire la conscience est formé par la culture (ou ce que l’on est, tout simplement), votre article est un chemin qui peut conduire là où c’est possible d’aller.
    Donc, merci.

  • Chris Peytier 2 septembre 2020, 15 03 41 09419

    Bonjour.
    j’aime beaucoup votre analyse du Hopo. Je suis en phase de « grosse baffe » reçue par une pratiquante dévouée du Hopo. Nous avons vécu sept ans ensemble, et elle a décidé de me quitter du jour au lendemain, sans aucune explication. Ce qui rend la chose encore plus douloureuse. J’ai le sentiment qu’à force de «nettoyer» sans jamais adresser le problème, elle a atteint un «pétage de plombs». il me semble que vous avez entièrement raison quand vous dites que le Hopo traditionnel (ou le conducteur de cérémonie demandait à ce qu’on mette tout sur la table) permettait justement de guérir du conflit par une compréhension profonde. À l’inverse, ce hopo francisé et individualisé a été très mal compris par la plupart, car il dit qu’on est 100% responsable. Non. On est 100% CO-responsable. C’est très différent. Car dans la COresponsabilité, il y a l’envie d’aider l’autre à s’améliorer. Penser qu’on ne peut pas changer l’autre, c’est un leurre. Bien sûr qu’on peut aider l’autre à s’améliorer! Dans un couple, si qq’un souffre d’une sitiation, en la mettant sur la table et en donnant à l’autre une possibilité de corriger son action, on va progresser. Alors qu’en essayant de nettoyer les souffrance, on risque de les accumuler. Et d’arriver au pétage de plomb. C’est ce qui s’est passé avec mon épouse. Elle a visiblement accumulé des souffrances qu’on aurait pu mettre sur la table et dépasser. À la place de ça, elle a pris la voiture un beau matin et je n’ai jamais eu une chance de comprendre pourquoi.

  • Jacques Roussel 15 janvier 2020, 13 01 20 01201

    Bonjour et bravo pour votre vision d’oh oponopono qui donne des éclairages pertinents et différents de ce qu’on lit habituellement. J’ai une question sur la recherche des causes d’un mal être. Si on perçoit une réponse comment savoir si elle vient de notre âme ou alors de notre imagination consciente qui trouve des scénarios ? Est-ce que notre conscient, ego, cortex…. (on l’appelle comme on veut !) pourrait innocemment nous jouer des tours et nous envoyer sur de mauvaises pistes ? Bonne journée, J. Roussel

    • Ophelie 21 janvier 2020, 10 10 25 01251

      Bonjour Jacques Roussel, qui ressemble à Jean-Jacques Rousseau… vous êtes aussi poète? 🙂

      Merci de votre retour, après chacun son opinion sur la question, est chacun ses outils pour se sentir être vivant… mais c’est vrai que selon moi de se forcer ne semble pas être bon, si le coeur n’y est pas, rien ne va….

      ET oui comment savoir que c’est le coeur qui parle, je pense que vous le savez, c’est plus une histoire de vous faire confiance… de vous permettre de vous écouter vous, même si dans votre vie vous avez dû vous taire… vous avez dû ravaler votre parole…. vous avez été invité au silence… je vous invite à respirer profondément et à lâcher toutes ces mémoires… vous permettre de lâcher tout ce vécu… tout ces traumatismes… vous pouvez ressentir et ensuite expirer tout ça, sentir que toutes ces programmations quittent votre corps…. et ensuite je vous invite à affirmer et ressentir cette idée de vous permettre d’écouter, d’entendre votre propre parole….

      Et vous pouvez aussi respirer avec votre coeur… et vous permettre de sentir que même si il est dans l’ouverture, vous n’êtes pas en danger… être le coeur ouvert, c’est être connecté à ses propres désirs et s’est être à rayonner de qui on est…. être le coeur ouvert c’est dire stop à toutes intrusions… et je vous invite à sentir que vos intentions sont bonnes… je vous invite à sentir que parce que votre coeur est dans l’ouverture, vos intentions sont bonnes… vous pouvez Vous faire confiance 🙂

      Et je vous invite à écouter l’audio ascension rescue, parce que chaque jour est un code de lumière et ce moyen pour vous de Vous ressentir, d’Être et d’Être selon vos Propres Intentions et Expression 🙂

      Belle suite à Vous retrouver, et à jouer avec les mots 🙂

  • Lyly 14 janvier 2018, 19 07 35 01351

    Bonsoir Ophélie,
    Merci pour tes articles fort intéressants.
    J’aimerais te faire part de ma vision du Je suis désolé, je te demande pardon, je t’aime… En ce qui me concerne je le pratique vis-à-vis de moi-même, dans une situation donnée, exemple : je suis par période dans l’hyperphagie. Pendant longtemps je me blâmais dès que je m’empiffrais, tandis qu’aujourd’hui, lorsque cela m’arrive, je peux me dire à moi-même enfin je m’adresse plutôt à mon corps en lui disant que je suis désolée, je lui demande pardon de lui infliger ce traitement et finie par lui dire que je l’aime. Cependant je ne balance pas ces mots à la légère, je les ressens sincèrement en moi, je suis véritablement désolée ( sans culpabiliser par la suite ). Pour moi c’est faire preuve de bienveillance vis-à-vis de soi-même. Ne pas se blâmer pour une compulsion qui généralement est le signe que l’on comble quelque chose. Se pardonner soi-même c’est simplement cesser de se jeter la pierre, cesser d’être dur avec soi-même, c’est se traiter soi-même comme on aimerait que les autres nous traitent et comme on traiterait les autres… Avec amour, bienveillance, tolérance

  • lougarou59 17 septembre 2017, 20 08 04 09049

    Bonsoir,
    Le ho’oponopono a été pour moi une révolution. Je crois qu’il est important de faire ses recherches pour adapter le ho’oponopono à soit même. J’ai lu beaucoup lu de livre du dr Joseph murphy. Et j’ai essayé de faire des liens. Une phrase que dit joseph murphy: « Je refuse de donner à aucune personne et à aucun objet le pouvoir de m’agacer et de me pertuber » Déjà les mots du ho’opono quand on le dit dans un état détendu et quand on y met sa signification, cela s’enregistre dans son subconscient, et ils te font du bien. Et quand tu te sens bien tu as armure vis à vis des agressions. Après ce même docteur Joseph Murphy dis aussi que pardonner dans tous les cas(à quelqu’un d’autre ou à soit même) c’est être égoïste car on se débarrasse de tout sentiment nocif comme la rancune, jalousie et au finale c’est nous qui ressentons le bien être. Après il faut remettre en question ses lectures, ne pas prendre tout pour argent comptant et ce que je peux dire c’est que le ho’oponopono met beaucoup de temps pour nettoyer en profondeur. Pour donner une image, c’est comme si j’utilisais un ciseau pour tondre ma pelouse de 50m carré… C’est à dire beaucoup de boulot. Je recherche donc une tondeuse et je voudrais aussi comprendre pourquoi le ho’oponopono est limitté. Grande recherche en perspective.

    • Ophelie 10 octobre 2017, 14 02 25 102510

      Bonjour Lougarou 🙂

      Tu es un être de nuit, mais merci pour cet éclairant témoignage;-) Oui j’adhère à 100% à ta proposition qui est de prendre soin de soi selon soi 😉 effectivement il n’y a pas un outil qui est pour tout le monde, et l’idée c’est effectivement de suivre ses élans du coeur, de ce choisir un point de départ, une inspiration à comment gérer ses énergies qui résonne en soi et l’idée ensuite c’est de l’adapter à soi-même dans le moment.

      Et oui de se reconnecter à Soi, ça n’est pas un processus qui se fait dans la minute, c’est sur le long terme. Et très vite en effet quand on commence à se réintégrer tout devient plus fluide. Mais c’est un processus qui demande de l’attention au quotidien, chaque jour nous offre une vibration qui est là pour nous assister dans notre évolution.

      Et ces « agressions » comme tu le mentionnes, je ne les sens pas comme telles, dans ce sens que tout ce qui est difficile à l’extérieur de soi, est une invitation qu’on se donne à être encore plus présent en soi. Quand on est, et qu’on rayonne de qui on est, plus rien ne nous « agresse »…

      Belle suite à toi à continuer de tondre ta pelouse chaque jour, bravo à toi de prendre soin de toi et de t’écouter, et n’oublies pas de respirer et de t’expanser, l’univers t’invite à le rejoindre.. à t’expanser jusqu’à ses rebords. Être l’univers, être les 12 dimensions universelles, réactiver ton ADN…

      Beau clair de lune à toi 🙂

  • Nelly 17 septembre 2017, 14 02 30 09309

    Bonjour Ophélie!
    Merci beaucoup pour ce partage de ta vision. Une amie m’avait parlé de cette méthode et semblait en émettre une belle opinion. Cela n’a jamais vraiment résonné avec moi par contre et je suis d’accord avec le fait qu’un moment, il faut prendre son courage à deux mains et juste affronter ce qui est.
    Après, je sais que j’ai un peu cette tendance aussi à juste ne pas savoir de quoi tel ou tel mal retourne surtout si je me pose et me permet un temps d’observation. Mais je t’avoue que je garde peu de patience surtout si la réponse ne me vient pas… mais est-ce que je la laisse seulement venir? 😉
    En tous les cas, merci de ton partage honnête! Les mots sont magiques effectivement mais il y a un moment ou l’on doit tout de même prendre sa part de responsabilité et y aller franco (selon mon avis).

    Encore merci, au plaisir de te lire!
    Des bisous!

  • Tofu 21 août 2017, 13 01 17 08178

    « dire je m’aime, quand on ne s’aime pas »… Le dire, est déjà un premier pas… ensuite, si on a été « mal aimé », par des personnes qui pensaient vouloir notre bien… on est pas conscient du décalage entre l’estime de soi réelle ou pas. Enfin, on finit bien par se rendre compte, que ça ne marche pas… ou on perd des gens parce qu’on se sait pas aimer ou pire, ne pas savoir recevoir le réel amour. On tombera même dans les travers de dominant/dominé… consciemment… A nous, de décider ce que l’on veut devenir. On se questionne, et on chemine, pour finalement comprendre que l’amour, le vrai et inconditionnel nous dépasse… il faut s’abandonner à lui… et le respect de soi, être sa priorité avant l’autre,… pour être réellement soi, et ce faire accepter en tant que tel. Etre en alignement avec soi, est revenir à l’essentiel, et finalement, on a même pas besoin de s’imposer, on est sa propre évidence qui est perceptible par les autres, mêmes dans le silence.
    Pour ma part, ho’oponopono est cette clef… des voiles se sont levés sur mon entourage, quel qu’il soit, mais aussi sur moi… Des choses que je ne voyais pas… Aujourd’hui, je m’aime, je suis désolée de ne pas avoir eu ce recul que m’apporte ho’oponopono. Je me pardonne. Merci, je m’aime. Par contre, il faut tenir bon, quand des vérités vous viennent en plein visage, et les conséquences qu’elles ont eu sur votre vie (car on voit surtout les vérités que les autres ont dénié sur le moment, et dont ils ont reçu le boomerang), mais pas les notres. A force de persévérance, si on accepte, on se libère de notre égo qui nous maintien dans l’illusion (la notre, et celle des autres). Comment on le remarque ? Quoique vous disiez, les personnes qui trouvaient toujours à vous contredire, que vous ayez tort ou raison, à défaut de vous soutenir, restent stoïque, neutre… mais étrangement ne se sentent pas écorchés par ce que vous dites ou le seul fait que vous attiriez un tant soi peut d’attention… Le changement est tellement flagrant, il n’y a qu’un choix faire… continuer d’exister dans la place qu’on nous a donné ou être soi même, et avoir la bonne place, qui est la notre, et à personne d’autre.

    • Tofu 21 août 2017, 13 01 38 08388

      Pour moi, j’ai une raison d’autant plus motivante d’agir… une personne, jeune, s’est rapproché de moi et portait le fardeau de ce que j’ai subi, qui a tout mon amour inconditionnel, et commençait à avoir de la rancœur pour les personnes qui me faisaient subir tout cela… et la dernière chose que je veux, est que la nouvelle génération hérite de toute cette négativité… Et, ça marche ! Et, d’autres, de sa génération, (génération Z et Y), revienne vers moi. Je le dois à ma persévérance, et rien d’autre… j’aurais pu abandonner, malgré un épuisement récurrent…. auquel je n’ai jamais palié avec des substances médicamenteuses… Cette jeune personne a fait un pas anodin pour me libérer mais aussi, moi aussi, je le libère… J’ai une amie dépressive suivit psychologiquement (il a l’air très humain et efficace) et sous médicament, qui a commencé à juste dire « je t’aime, désolée, pardonne moi s’il te plaît, mer ». Elle rencontre des améliorations relationnelles dans son milieu professionnel. Et on lui a fait part d’un changement dans son attitude. A DEFAUT DE NE PAS ETRE POSITIF, IL FAUT PEUT ETRE, ETRE SURTOUT NEUTRE, MAIS CERTAINEMENT PAS NEGATIF…

      • Tofu 21 août 2017, 13 01 53 08538

        Enfin, si Ho’oponopono, nous permet d’avoir une clef en main, selon son cas, ne pas se hâter d’ouvrir n’importe qu’elle port… être persévérant, beaucoup de patience, surtout si on est pas régulier comme moi, donc de la discipline aussi, et l’on se rapprochera de la bonne porte à ouvrir… Pourquoi, si simple… parce que certaines choses, dont le pardon son universel, et la on dépasse la mémoire collective… quelque soit le groupe (famille, travail, etc…)… Le seul obstacle et nous même, et la négativité… car c’est bien du positif qu’on veut créer, qui émane de notre intérieur… Bien sûr, j’écris avant tout pour moi… même si j’ai encore du chemin…. la porte n’est plus très loin…
        Même si je peux le faire dan silence, je vous l’écris à tout ceux qui liront :
        Je vous aime, je suis désolée, pardonnez-moi, s’il vous plaît, merci »

        • Tofu 21 août 2017, 14 02 06 08068

          Enfin, être reconnaissante, de tout ce qui est positif dans votre vie, même si cela semble infime… à force de regarder vers le bon angle, vous ne verrez que le bon côté des choses.
          Pourquoi pardonner aux personnes qui nous détestent et peuvent pourrir notre vie ? Car, ils nuisent d’abord à la leur. Et inconsciemment, sous le joug de conditionnement, vous harcèlent. Leur pardonnez, c’est d’abord vouloir vous débarrasser d’eux, vous libérer de votre part de responsabilité de les avoir créé dans votre vie… Soit ils deviennent ‘normaux’ avec vous, soient ils disparaissent…

          OPHELIE, MERCI POUR LA LIBERTE D’EXPRESSION SUR VOTRE SITE ! UN ESPACE DE DIVERSITES DES ECHANGES ET POINTS DE VUS ! TELLEMENT EMULANT !!!!!

          • Ophelie 27 août 2017, 7 07 23 08238

            Bonjour Tofu,:-)

            Merci de votre message, oui je me suis permise quelques libertés par rapport au courant du moment. Après je ne prétends pas détenir la vérité, mais c’est vrai que j’ai exploré pas mal de méthodes de développement personnel, et je me sens cette impulsion à partager mon vécu.

            Et j’invite tout en chacun à développer ses propres outils et ressentis selon soi, et ce dont je suis sûr c’est que vu l’évolution planétaire que l’on vit, c’est important d’entrer dans la conscience de qui on est, dans la conscience de qui on n’est pas, et la conscience de ce qui nous appartient pas.

            Et oui d’entrer dans un processus de libération, d’entrer dans la responsabilité de notre vie, prendre soin de soi et ce faisant on invite les autres à faire de même. Quand on est soi, quand on est la vie les gens autour se trouvent invités eux aussi à se connecter à eux-mêmes 🙂 et ensuite c’est possible d’entrer dans d’autres types de relation. Quand chacun est qui il est, une relation trouve son équilibre, chacun est à sa place et dans son énergie.

            Et vive la paix sur terre, on va bien y arriver, et belle suite à vous, fan de tofu? ou touffe de positivité que vous êtes :-)<3

            • Tofu 30 août 2017, 16 04 08 08088

              Ho ! Trop chouette le choix de vos Avatars, Ophélie ! Et, très agréable d’entendre votre voix dans le lien joint.

              Oui, fan tofu, et des sauces sojas, miso, et tout, et tout… Et pour la touffe de positivité, j’y travaille, l’entretien et tente de la préserver. Sinon, en général, on me qualifie de touffe, c’est chez le coiffeur ;D Merci pour ton site Ophélie.

  • Jeff 1 mai 2017, 13 01 07 05075

    Bonjour, je ne pense pas qu’il y ait de mauvaises herbes mais simplement des herbes dont on ne connait pas l’utilité…….. quand à cette méthode , je pense qu’il est souhaitable de la replacer dans son contexte cad : HAWAÏ, Pacifique, cosmogonie et cosmologie, etc……..MAHALO…..Aloha

    • Ophelie 29 juin 2017, 8 08 19 06196

      Bonjour Jeff,:-)

      Je souris de votre commentaire, tout a fait d’accord mes métaphores ont leur limite ;-), en effet tout a sa raison d’être… et ces herbes qui semblent envahissantes ont aussi leur rôle à jouer dans cette fascinante aventure terrienne. C’est sûr que l’équilibre global est en souffrance ce qui fait que certaine espèces ont eu tendance à s’expanser, et le jour où les humains vont faire ce choix de se reconnecter à eux-même, la nature va aussi pouvoir reprendre sa place, et être.

      Et oui l’hoponopono il aurait été intéressant de l’expérimenter dans son contexte, je suis tout a fait d’accord certains éléments manquent à mon analyse. Mais mon partage portait surtout sur l’hopo d’aujourd’hui qui lui aussi semble avoir perdu de son équilibre 😉

      Belle suite à vous, magnifique jardinier du savoir que vous êtes 🙂

    • Jacques Roussel 12 janvier 2020, 14 02 36 01361

      Quand on attend une réponse de son être supérieur par rapport à un mal être comment être sûr que la réponse ne vient pas de son cerveau conscient, cortex, ego…. ?

  • fugier 19 août 2016, 12 12 39 08398

    J’ai bien lu les critiques sur Hopono, en ce moment, je teste à fond et laisse faire. Je ne vois que du bien dans hopo, pour ma part, même si je teste pour ne pas dire de sottises. Peut-être que chacun doit le pratiquer à SA façon ? peut-être qu’il faut aussi avoir un autre « bagage » avec ? Pour ma part, j’en suis contente, j’ai déjà suffisamment « creusé » et il est temps de passer au vrai lâcher prise et à la fusion avec L’univers… qui lui décide, pas nous.
    Moi, ça m’aide et ça me simplifie la vie… Voilà pour mon cas ! N’hésitez pas à dire votre avis ! amitiés.

  • fugier 1 juillet 2016, 11 11 03 07037

    Tout cela est passionnant. Je pense pour ma part, qu’il faut plusieurs bagages psychologiques, ne pas se tenir à une seule méthode. Hopono peut être un puissant levier d’urgence ou pour tenir bon, et accompagné d’autres intuitions : j’utilise le taoïsme, le bouddhisme pour certains faits, le yoga, la pensée positive, voire le chamanisme… Mais il faut surtout rester soi-même.
    Se trouver, et aussi employer des techniques qui nous plaisent. J’en suis là.
    Faire une synthèse propre à soi. Surtout pratiquer sans a prioris. Y croire ne suffirait pas, on a un esprit critique aussi, heureusement, mais je pense qu’hoponopono aide vraiment, oui je le pense, si on sait l’utiliser et pratiquer, et puis aussi, ne pas être trop critique, ça vaut mieux que se bourrer de tranquillisants pour la santé. Ca devrait être enseigné plus.

  • fugier 29 juin 2016, 17 05 48 06486

    Il faut lire Petit traité de l’abandon de Alexandre Jollien, ça explique comment fonctionne hoponopon, cela rejoint des techniques bouddhistes et taoistes. C’est subtil de lâcher prise et de ne rien attendre pour s’ouvrir
    ensuite aux réponses et aux coïncidences. Tout un travail sur soi.
    bonne chance !

    • Ophelie 1 juillet 2016, 8 08 56 07567

      Bonjour,:-)
      Merci pour votre commentaire, et suggestion à lire du Alexandre Jollien. Quel intéressant personnage que ce Alexandre, oui sagesse qui ce dégage de cet Etre…. rien que de ressentir son énergie ça me fait un gros haaaaaaaaaaa…. à creuser, ça fait longtemps que ça me trotte dans le tête de me plonger dans ces écrits, merci à vous pour ce petit clin d’oeil!
      Salutations du coeur <3

  • Didier 19 juin 2016, 8 08 10 06106

    Bonjour Ophélie,
    Je vous dit Bravo pour votre article
    Je ne connaissais pas cette méthode, hopononpono. Mais inconsciemment je suis plus proche de votre démarche. Je pense que cette technique est simple à appréhender, mais reprise par une quantité de personnes qui y greffe leur version.

    Je pense qu’il faut un travail plus en profondeur de prise de conscience.Je viens de faire fasse a deux ruptures dont la dernière le décès de ma mère.

    Je pense qu’il faut également une remise en question:
    Ne prendre rien pour acquis. Aller chercher l’essence des choses et des êtres. Élever son niveau de conscience. Aller vers l’essentiel, éliminer le superflu qui encombre notre esprit.

    Au plaisir de vous lire

    • Ophelie 1 juillet 2016, 9 09 11 07117

      Bonjour Didier, 🙂

      Merci d’avoir laissé une trace de votre passage parmi mes papillons. Oui je pense aussi que les difficultés dans notre vie sont très souvent là pour nous inviter à une prise de conscience… donc distinguer si il y a « ce besoin » de creuser plus en profondeur. Depuis la rédaction de cet article je campe sur ma position à penser que le hopo, permet de s’éloigner d’un problème… et qu’il va d’une manière ou d’une autre réapparaître… tant qu’on est pas aller toucher à l’essence de ce blocage, il va se manifester encore et encore…

      Par contre, j’ai remarqué qu’arrivé à certain stade de notre processus, arrivé à certain taux vibratoire on est amené à se concentrer uniquement sur l’intégration de notre conscience… à faire face à notre lumière plutôt que de faire face à notre ombre… et que chaque difficulté est une invitation à réintégrer nos potentiels, et que de chercher les pourquois nous maintient dans l’ancien…
      Donc personnellement à ce jour je me concentre sur l’expression de tout ce que j’ai intégré ces dernières années, et je ne me sens plus totalement en phase avec ce partage, mais de lâcher de la densité et faire face à ces mémoires est une phase indispensable de notre processus!

      Mais c’est subtil tout ça et chacun son processus, chacun son chemin! Et je vous souhaite de pouvoir avancer sur votre chemin, de pouvoir renaître de vous-même malgré ces événements difficiles que vous traversez. Si je peux me permettre, ce sentiment que pour vous ces ruptures sont des invitation à intégrer cette vibration du féminin sacré. Laisser parler votre côté féminin, votre sensibilité et votre intuition!

      Belle suite à vous :-)<3

  • Hoop 16 avril 2016, 3 03 18 04184

    Bonsoir,
    Je vis un profond nettoyage grâce à ho oponopono. J’ai énormément de nettoyage à faire. J’comprends qu’une telle méthode hirisse les thérapeutes. Je rencontrais énormément de conflits, ils fondent comme n’exigent au soleil. J ai eu encore une épreuve assez lourde dernièrement. Comme préconisé, j’ai dit « je remercie mes mémoires de me donner l’opportunité de les libérer et de me libérer. » … Je peux vous dire que je reviens de loin et je vous pardonne de vouloir en votre nom descriditer un tel bienfait pour l humanité. D autres thérapeutes ont su se faire un allié de cette méthode au risque de rendre leur patient très vite indépendants.

    • Ophelie 19 avril 2016, 8 08 14 04144

      Bonjour :-),

      Merci pour ce partage. Mon envie par rapport à l’hoponopono c’était aussi d’ouvrir un dialogue… par conte si je peux me permettre, il me semble que dans cet article, c’est surtout à un niveau personnel que j’ai des réticences quant à cette méthode… Et mon idée c’était d’encourager les gens à écouter leur ressenti et à ne pas pratiquer des méthodes qui ne résonnent pas en eux.. Par contre je reste convaincue que d’être dans cette attitude du désolé, énergétiquement on se plombe…

      Je suis contente de lire que pour vous ça fonctionne, ça serait aussi intéressant de voir comment vous pratiquer cette méthode, parce que l’hopononopono ça reste très vaste… peut-être avez vous élaboré une technique dérivée de l’hopo, selon vous, vos ressentis?

      Et il me semble aussi qu’à la fin de mon article, je partage ma technique et j’invite les gens à l’utiliser pour eux-même! Dans ce sens que oui l’idée c’est de devenir conscient de son expérience et à entrer dans la responsabilité de celle-ci… Après de rester neutre par rapport à soi, c’est pas évident… et moi aussi à une certaine époque de ma vie j’ai eu fait appel à d’autres thérapeutes pour avoir une vision autre que la mienne troublée par mes drames émotionnelles…

      Il me semble que l’accompagnement thérapeutique quel qu’il soit à sa raison d’être?!? Mais tant mieux pour vous si vous avez besoin de personne… ou peut-être avez-vous été déçu par un ou des thérapeutes?

      Dans tous les cas bonne suite à vous 🙂

      • Pam 7 mai 2016, 14 02 58 05585

        Bonjour à tous !
        Pour ma part Ho’Oponopono m’aide à me sentir mieux.
        Je suis dépressive chronique et j’ai tendance à broyer du noir, à ressasser de sombres pensées. Ho’Oponopono m’a aidée à me désintoxiquer.
        Ce que je trouve regrettable, c’est qu’une méthode qui est à la portée de tous soit devenue la propriété de quelques uns qui se font leur beurre dessus et qui , de surcroît, la dénaturent !
        Chacun y va d’y ajouter un peu du sien.
        Pour ma part, c’est ce qui me déstabilise.

        • Hoop 20 mai 2016, 17 05 26 05265

          Bonjour,
          Désolée pour les fautes dans mon premier message et merci d’y avoir répondu.

          Par où commencer ? La colère, par expérience, je peux dire, en effet, elle est mauvaise conseillère que vous ayez raison, que vous soyez l’objet d’injustices irrationnelles… cela vous marque au fer rouge et vous en portez les stigmates et finalement vous coupe d’une source énorme, l’amour inconditionnel. La colère était d’autant plus légitime que l’on a raison ? Pourtant, elle vous auto détruit certainement plus qu’une personne qui en fait leur moteur (jalousie, pouvoir, etc…). De ce fait, je me suis dis que la sérénité, ce situe au delà du bien et du mal puisque ce qui font du mal, on l’air d’aussi bien s’en sortir, même mieux que ceux qui ont de bonnes intentions (pas pour le pouvoir, par convoitise, etc…).

          Ho’oponopono n’a rien à voir avec la loi d’attraction, mais vous nettoie de toute la négativité accumulée. Mornah Simeona a adapté une philosophie et tradition hawaïenne que tout à chacun, individuellement et à distance, peut pardonner qui il veut ou situation qu’il a créé (car oui, on est bien des créateurs). La notion de responsabilité comme elle est présentée, vous montre que vous avez une influence sur ce qui nous arrive, et donc on peut agir sur elle. Il n’est pas question d’oublier, et de se confondre dans la naïveté, bien au contraire et surtout pas culpabiliser, car le but est de se libérer de toutes les négativités accumulées et qui créent des conditionnements auto destructeurs et bien de reprendre sa vie en main.

          Vraiment, dans mon environnement, je suis sujette à harmoniser les conflits, le problème est que je deviens la cible à abattre ou la source de tous les problèmes. « oui, je rêve d’un monde, ou les groupes, quels qu’ils soient (famille, société, amis…), n’ai plus besoin d’un bouc émissaire pour se consolider. » Le problème est que nous cherchons à interagir avec l’extérieur pour trouver notre sérénité, alors qu’elle réside en nous avant tout, et le travail est à faire sur soi pour voir son environnement et entourage à sont tour, harmonieux. Vraiment, je parle par expérience, même si je n’ai pas fini mon nettoyage… c’est pour bientôt :). J’ai tout essayé, le dialogue avant tout, mais on peut vous pousser à bout, à moins de vous extraire d’un milieu très toxique et limitant, et ou la notion d’amour a été enfouit en faveur d’un obscurantisme dont la peur est le socle… D’ailleurs de puis enfant, ça n’a pas voulu rentrer… 😉 Fort heureusement.

          Ce que j’ai aimé, en ho’oponopono, est que même si vous n’y croyez pas cela marche… on le fait avec plus de légèreté, et moins de crispations… puisqu’il y’a là le principe de s’en remettre à l’univers… Il y’a dans le pardon cette notion de se situer au delà du bien et du mal, pas besoin d’agir en toute conscience, puisqu’on est la majorité du temps en mode automatique, ne serait ce pour respirer et heureusement, mais il en va de même pour les choses que l’on veut gérer consciemment, surtout quand on sait ce que l’on veut…

          Un exemple : une personne que je n’étais pas prête à pardonner, je le savais, cela dit, j’ai fait confiance en l’univers. Dans un premier temps, j’ai commencé à ne plus la croiser (sans que je le veuille, les circonstances semblaient se mettre en place pour me préserver).
          Depuis peu, mon pardon devient de plus en plus sincères, je le revois plus souvent… cela dit, s’il n’est plus méprisant à mon égard, même bienveillant avec des marques d’affection évidente, je n’y ai pas répondu… je voulais être certaine de sa sincérité.
          Notre dernière rencontre me montre, que je vais pouvoir me libérer, il n’a pas pu soutenir mon regard, malgré que j’ai été vers lui. Il a cette fois pris conscience des conséquences de son acte, sa part responsabilité et surtout d’avoir brisé à tout jamais, un lien précieux, à cause d’une autre personne…

          J’ai deux autres expériences, professionnelles cette fois, j’ai eu de grands conflits, mais au moment ou j’ai appliqué ho’oponopono, ces tensions ont fondu comme neige au soleil. Oui, je suis assez têtue, et veut faire les choses de moi même… et pas forcément prier… pourtant j’y reviens toujours… comme un enfant qui veut faire des bêtises et qui veut s’affranchir de tout autorité, même l’univers :D, mais franchement, j’ai tout intérêt à m’y tenir, c’est franchement tellement simple :
          – Exercice de respirations 9 séries d’ inspiration, arrêt, expiration, arrêt (à chacune de ses étapes compter jusqu’à 7).
          – Et donc, les prières telles que présentées dans ebook pdf gratuit, sur internet… On peut acheter, des choses et d’autres, mais cela ne m’intéresse pas.

          Je dirais juste que ho’oponopono est du bon sens et comme je suis très curieuse tout ce que j’ai pu lire en psychologie, religion (éducation), etc… en fait mention, car c’est un bon sens universel et qui ne juge pas que nos action, émotions, pensées, paroles, faits soient bien ou mal.

          Bonne journée.

  • ysis 7 octobre 2015, 19 07 07 100710

    Je comprend parfaitement ce que tu dis, cependant je pense qu’effectivement tu n’as pas compris l’essence même de l’ho’oponopono tu devrais lire le livre de joe vitale « zero limite » ecrit en collaboration avec le Dr Ihaleakala hew len qui est le maitre formateur du système ho’oponopono. Quand a joe vitale c’est un des intervenant du film « le secret » de rhonda Byrne. Je pense, comme il le dit dans ce livre, qu’on ne peut accéder a cette compréhension des choses qu’a partir d’un cheminement intérieur approfondit, qu’il défini en 3 phases (en page 244 de son livre), j’ai parfaitement reconnu ces 3 phases pour les avoir vécue moi même cela demande quelques années de travail approfondit et de lectures (a condition de tomber sur les bons ouvrages) aussi je pense qu’une personne « landa » tombant sur l’ho oponopono sur internet avec des informations totalement approximatives n’accrochera pas du tout et cela est tout a fait normal. Il faut avancer par palier (chacun a son rythme) on ne peut pas sauter directement en haut de l’escalier en sautant toutes les marches.
    pds

    • Ophelie 8 octobre 2015, 6 06 59 105910

      Bonjour,:-)
      Merci pour ce point de vue sur L’hopo. ET juste envie de vous inviter à lire la fin de mon article ou je précise que j’ai lu Zéro Limite avant de le publier, pour être bien sûr de n’avoir pas louper le coche avec l’hoponopono! La lecture de ce livre m’a confortée dans mon ressenti par rapport à cette tradition…
      Comme Joe Vitale la décrit vers la fin du livre, ça se résume à dire je t’aime, à tout ce qui t’arrive dans la vie…. Alors que certains passages du livre, ceux en lien avec le Docteur Len, laissent entrevoir que l’hopo c’est plus complexe que ce qui est proposé aujourd’hui… Ce livre est passé à la poubelle, parce que c’était clair que je n’allais pas le relire, donc je ne peux pas vous citer exactement les passages ci-dessus, et à la poubelle aussi parce que je n’ai pas eu l’envie de le garder lié à la vibration qu’il porte.
      Et suite à la lecture de ce livre, j’étais même boostée à écrire une suite à mon article, tellement mes ailes ont frétillé de désaccord, mais là je suis passée à autre chose.

      Et le secret….. qui pourrait être le sujet d’un autre article de ma part à l’occas 😉

      Mais l’hopo je suis d’accord dans le fond, un nettoyage est nécessaire pour intégrer sa conscience… mais d’être désolée et d’aimer tout ce qui bouge ne permet pas de se délester… Bien au contraire on s’est rajoute une couche…
      ET le nettoyage de toute façon n’est qu’une étape, pour retrouver la paix on est amené à fusionner avec notre conscience… et entre conscient, c’est aussi entrer dans la responsabilité de notre vie… Et être conscient c’est intégrer son âme à son expérience…
      Bonne suite à vous et à l’hoponopono!
      🙂

  • Francesca 15 juin 2015, 16 04 09 06096

    Bonjour, je suis contente d’avoir trouvé ton article sur Ho’… cela fait des semaines que je m’y intéresse, j’ai essayé de pratiquer, j’ai eu quelques petites anecdotes et même si le souci qui me pousse actuellement à chercher la solution ailleurs me pèse encore (même après j’avoue un apaisement)… j’étais fatiguée de répéter les mots indéfiniment… j’avais l’impression que ça me bouffait la tête. Alors j’ai cherché sur le net des articles « contre » ho’ ! et je suis contente de t’avoir lue. Même si ça nettoie les mémoires, j’aime bien comprendre pourquoi j’ai le retour de bâton d’une situation que j’ai créée, moi ou un de mes ancêtres et avec Ho c’est pas ça. Alors je crois que je vais laisser tomber. Pas facile de lâcher prise, mais répéter « la Paix de Dieu remplit mon âme », me fait chaud au cœur, et j’arrive parfois à lâche r prise et me sentir bien…
    Merci

    • Ophelie 16 juin 2015, 20 08 11 06116

      Bonjour Francesca,:-)

      Doublement merci, pour le partage et le copier coller dans les commentaires 😉

      Je trouvais que ton témoignage était trop intéressant pour finir dans les oubliettes de g-mail. Alors voilà que dire de plus, peut-être que dans un moment de grande détresse où on n’arrive pas à voir plus loin et ressentir la cause de la difficulté qu’on traverse… Pourquoi pas utiliser hopo, dans un premier temps, pour calmer le jeu… et ensuite une fois qu’un semblant de paix est retrouvé, aller creuser pour nettoyer en profondeur.

      Et comme toi j’aime bien comprendre, mais en plus je pense qu’une prise de conscience est nécessaire pour pouvoir transmuter une mémoire.

      Merci à toi et bonne suite <3 🙂

  • Laurence 11 juin 2015, 2 02 30 06306

    Bonjour,
    Pour ma part être désolé ou demander pardon ne me pose plus de problème car j’ai compris à qui je demandais pardon. Supposons que quelqu’un vous ait fait vraiment du mal, ne pas savoir se défendre ou n’avoir pas pu se défendre ne fait pas de nous un coupable, l’agresseur c’est l’autre. On ne lui avait rien demandé. Mais rester dans la posture de la victime, c’est prolonger son action malfaisante et l’aider à me faire du mal bien après l’événement. Ce qui, s’il le savait, remplirait sans doute de joie mon agresseur. Alors je me demande pardon pour m’être maintenue dans cet état de victime où l’autre m’a plongé. Deuxièmement si l’action de cette personne me fait basculer du côté obscur de la force, alors je demande pardon à L’univers ou Dieu car je me retrouve du mauvais côté de la barrière au lieu de rester dans la lumière. Et puis je remercie mon âme de se mettre en relation avec l’univers ou Dieu pour effacer ces mémoires qui m’empêchent de voir la vie dans toute sa beauté, de lever ce voile gris qui obscurcit ma vision. Je t’aime, l’Univers ou Dieu car je sais que tu m’accordes ton aide et que je vais repartir sur de bonnes bases.
    Merci Ho’oponopono pour ton aide.

    • Ophelie 16 juin 2015, 19 07 53 06536

      Bonjour Laurence,:-)

      Merci pour votre commentaire à ce débat Hopo 🙂

      L’hopo je balance, dans ce sens que pour moi non, mais il semble avoir son utilité suivant ce qu’on recherche et si on supporte au niveau de son ressenti. Par contre l’hopo suggère qu’on est responsable de ce que l’on vit et là j’adhère complètement… On est responsable de se faire agresser. Et d’entrer dans la responsabilité de ce que l’on vit, on sort justement du rôle de victime. Pour moi être victime, c’est penser que les autres nous font du mal. Un « agresseur » agit selon ses blessures et avec notre accord, il y a un contrat d’âme derrière, parce que de cette « agression », il y a une occasion pour nous de grandir.

      Basculer du côté obscur comme vous dites, je le perçois comme une fragmentation de l’âme… Quand on est traumatisé, notre conscience s’éparpille, et l’idée c’est de transmuter la mémoire pour que ce fragment d’âme puisse se reconnecter. Mais pour se faire, je pense qu’on n’a pas d’autre choix que d’entrer dans la conscience du pourquoi de ce qu’on a vécu, du pourquoi de cette agression, parce qu’elle a été décidé d’un commun accord, dans le but d’un apprentissage.

      Chacun sa façon de voir les choses, si ça fonctionne pour vous et bien tant mieux. Bonne suite à vous 🙂

      • Sanae 10 janvier 2016, 15 03 04 01041

        Bonjour,

        Après avoir lu plusieurs articles sur le Ho’oponopono et avoir essayé d’en saisir un tout petit peu le sens, j’ai de la difficulté à assimiler cette notion de note propre responsabilité envers ce qui nous arrive. En effet, je peux comprendre cela lorsqu’il s’agit d’un adulte, mais lorsqu’il s’agit d’un enfant, je perds le fil. Est-il possible qu’un enfant, alors que c’est un être qui n’est pas encore construit et qui est en phase d’apprentissage et de développement, puisse être responsable de ses propres malheurs ? Alors, cette divinité (je ne sais pas comment la nommer étant agnostique), qui a créé tout cela, me laisse perplexe. Elle aurait pu laisser le subconscient accessible à sa créature pour laisser l’énergie circuler librement et pourvoir transmuter les mémoires toxiques. L’équilibre aurait pu être installé par cette divinité créatrice dès le départ pour permettre à l’harmonie de s’installer.

        C’est une réflexion qui continuera à se poser jusqu’à ce que je trouve une réponse adéquate.

        Merci pour votre blogue et bonne continuation.

        Sanae

  • Laure 28 mai 2015, 4 04 55 05555

    Bonjour Ophelie,
    Quand j’ai appris le hopo j’essayais de l’utiliser pour certaines choses et je n’y trouvais pas mon compte non plus.

    Puis un jour je l’ai utilisé pour parler à mon corps. Pour lui dire pardon de le bousculer comme cela, désolée pour tout mes actes sans avoir pensé à lui, le remercier de de régénèrer et lui dire que je l’aime.

    Et pour cela, pour mon corps, cela m’aide.

    Après dans des situations pour les autres j’essayais aussi mais ça me parle moins.

    Merci pour l’article qui laisse réfléchir.

    • Ophelie 29 mai 2015, 20 08 38 05385

      Bonjour Laure,:-)

      Merci pour ton partage :-). Oui l’hopo à ta sauce, pour te permettre de communiquer avec ton corps et d’entrer dans une relation plus douce avec lui… si ça fonctionne pour toi et bien c’est magnifique.
      Après quand il y des choses à nettoyer, je pense aussi que son effet est moindre, mais chacun son ressenti et expérience.

      Oui invitation à la réflexion, parce que le nettoyage ça n’est pas anodin… important de faire appel à son propre ressenti pour éviter de s’en rajouter une couche…. et aussi une réponse aux personnes qui sont désespérées de nettoyer sans résultats durables.

      Salutations du coeur<3

  • Béatrice 27 mai 2015, 19 07 01 05015

    Coucou Ophélie, puisque tu me l’as demandé, je fais un effort pour m’exprimer sur le blog directement, même si ce n’est pas trop mon truc. Pour moi, le Hopo, cela n’a pas marché du tonnerre de Dieu non plus. Au départ, je pensais que cela m’aidait, mais à bien y regarder, je n’ai pas constaté de progrès flagrant dans la résolution de problèmes. j’ai surtout testé pour des relations difficiles avec des personnes qui avaient des problématiques lourdes. Rien de transcendant ne s’est passé, alors que je pense y avoir mis mon cœur (ou en tout cas toute ma bonne volonté !). Je suis d’accord avec toi que cela ne peut pas trop marcher quand on ne pense pas ce que l’on dit. cela résonne dans le vide. Par contre, j’aime beaucoup le disque des japonais qui chantent en anglais et en japonais et pour moi, il est chargé de bonnes vibrations, car je me sens bien quand je l’écoute et que je chante avec. J’aime aussi assez répéter ho’oponopono pour m’endormir si j’ai le sommeil qui peine à venir. C’est assez curieux, car la plupart du temps, cela fait venir des images à mon esprit, comme si je regardais un film, je n’ai aucune idée de la signification de ces images mais cela n’a pas d’importance, et souvent je m’endors. Mais je ne répète pas la formule en français, seulement ho’oponopono comme un mantra.
    Pour le nettoyage, j’aime bien la flamme violette, c’est plus neutre. Par contre, comme pour toute méthode, il faut une bonne dose de foi dans le résultat… qui n’est pas toujours palpable, ce qui rend la chose difficile à appréhender !!!
    De manière générale, je ne dirais pas qu’une méthode est bonne ou mauvaise, il suffit en définitive de trouver celle qui convient à qui nous sommes et comme nous sommes tous différents… Nous avons heureusement la chance d’avoir énormément d’outils à disposition, nous pouvons donc faire notre choix beaucoup plus facilement qu’il y a des années en arrière. Ta méthode est superbe, mais tant qu’on arrive pas à vraiment obtenir une réponse du corps… et je ne parle pas des réponses en flash ou en intuition…. et quand tu dis que « je me permets de ressentir » est la clé, là aussi, il s’agit d’en est convaincu, sinon cela ne marchera pas non plus.
    Quoiqu’il en soit, j’en profite pour te remercier de tout ce que tu nous apportes si généreusement, c’est merveilleux. Merci d’éclairer notre chemin avec ta belle lumière.

    • Ophelie 4 juin 2015, 16 04 23 06236

      Coucou Béatrice, 🙂

      Merci pour l’effort d’avoir osé participer à la discussion hopo publiquement…;-)
      Et merci pour ton témoignage, oui l’hopo si on n’est pas convaincu de ce qu’on raconte, c’est mieux d’éviter au risque de s’en rajouter une couche… Oui quand j’ai écrit l’article, j’ai pas pensé tester l’hopo en restant fidèle à l’expression d’origine… Et si pour toi ça passe tant mieux… moi je dois avouer que depuis j’ai essayé et je ressens un malaise, et c’est peut-être la raison pourquoi j’arrive pas à l’écrire ce mot, ou même m’en souvenir…;-) bon ma mémoire est très capricieuse en cette période…

      Oui la flamme violette, j’emploie le mot transmuter ce qui revient au-même. Par contre la flamme violette, c’est bien de la renvoyer d’où elle vient. En séance, j’ai vu plusieurs fois des gens qui étaient violets et qui avaient « perdu » la couleur de leurs chakras… Donc après un petit coup de flamme, l’idée c’est de sentir ou d’être avec l’intention que tes corps énergétiques et chakras recirculent tout bien.

      Comme tu dis on est tous différent, à chacun de s’écouter selon ses propres besoins. Et merci à toi de ton précieux partage et ta belle vibration angélique que tu diffuses abondamment autour de toi.<3<3<3

      Le "je permets" c'est ouvrir une porte énergétiquement, ça nous met dans une disposition à pouvoir accueillir et avancer... c'est un peu comme si tu dit soleil, le corps s'ouvre, ou si tu dis tempête, le corps se referme...

      🙂

  • Christine Cattelan Morel 10 mai 2015, 14 02 44 05445

    Je me souviens : en quelques mots pour avoir Testé  , pratiqué sur conseil d’un Médecin l’hoponopono que je n’en ai pas trop vu le bénéfice ! Ce fut comme un jeu les premières  semaines et ensuite Bof !comme une mode qui est passée bien vite ! Comme vous dites si bien Ophélie  , je ne voyais pas à qui je devais dire Pardon , par -contre oui j’attends le Pardon de certaines personnes qui m’ont faites beaucoup de mal au coeur , à  l’Ame …. j’ai essayé aussi l’EMDR avec un médecin Parisien qui n’a pas apprécié quand au bout de quelques séances je lui ai avoué que je n’étais  pas convaincue, suite à  quoi il m’a rétorqué que je serais toujours émotive que j’aurai toujours des crises d’angoisse de panique , des angoisses , au regard des nombreux traumatismes psychologiques  subis et même  physiques  et que rien ne pourrait me guérir  !!!! Oh il était  très  vexé  ce Docteur des quartiers chics parisiens  qui pensait avoir la réponse à  tout !!! Hélas  je pense que c’était lui qui était  malade , et obnubilé par l’appât du gain ….. Puis j’ai aussi testé la sophrologie , moyen , bof ! cela ressemblait plus à  une demi -heure de relaxation sans plus , le problème  c’est qu’en France voyez -vous Ophélie beaucoup et de plus en plus de personnes deviennent soit sophrologue , hypnotiseur où thérapeute en tout genre en l’espace de formations sur quelques weekend et parfois plus pour l’appât du gain ( car entre nous sur Paris les tarifs des séances chez un thérapeute avec une formation très  courte vont de 60 à  300 voire plus de l’heure en fonction du quartier !!! ) Puis j’ai essayé l’hypnose ericksonnienne  , en fonction du thérapeute c’est différent  mais c’est pas mal mais ça  ne dure pas dans le temps ! Il faut refaire des séances , Et en fait la solution à  nos problèmes,  la solution elle est en nous mais par quel chemin y arriver !? Et parfois , souvent on a besoin que quelqu’un nous prenne la main pour nous guider nous accompagner car l’enfant en nous a besoin d’être  reconnu , accepté  , aimé pour ce qu’il est . Et dans le Monde actuel il faut se protéger de toutes les informations négatives qu’on nous déverse en permanence . 

    • Ophelie 11 mai 2015, 12 12 29 05295

      Bonjour Christine,:-)

      Merci pour ce partage très sincère de votre parcours, qui reflète, il me semble, beaucoup le cheminement des personnes à la recherche de mieux-être, d’elles mêmes… Beaucoup de similitude avec le mien en tout cas, à part l’EMDR…

      D’une déception à l’autre, pour finalement prendre conscience que, oui elle est en nous, la solution. De ce que j’ai appris le long de mon sinueux parcours ;-)… Je dirais être à l’écoute de soi, prendre soi de soin, et entrer dans cette conscience qu’on porte beaucoup de choses qui ne nous appartiennent pas, se permettre alors de lâcher tout ça, pour faire de la place à qui on est… Et intégrer notre âme dans notre existence, dans notre corps… pour basculer du mode mental au mode conscience supérieure…

      Mais ça ne se fait en un coup de baguette magique, et certainement que toutes ces expériences qui ont semblées être du temps et de l’argent perdu, ont quand même apporté une pierre à l’édifice… qui est, j’ai les réponses à l’intérieur…

      Après, ça n’est pas évident d’écouter sa propre guidance, parce qu’on est imbriqué émotionnellement dans nos histoires, c’est difficile de rester neutre. Et c’est souvent utile d’avoir une autre perspective que la sienne, plus large, qui vient confirmer ce ressenti qu’on a à l’intérieur…

      Je vous souhaite une bonne suite, et je vous prends tout fort dans mes bras, 🙂
      Salutations du coeur <3

  • Céline 2 mai 2015, 12 12 19 05195

    Coucou ophelie,
    bon alors j’ai lu ton article sur l’hoponopono, je me demandais ce que cachait ce curieux nom et donc je suis complètement d’accord avec toi.
    Faut trouver le mal a la racine, se débarrasser de ce qui nous gêne mais pas se flageller!
    Le but est d’aller mieux, se faire du bien au final, mais pas se defouler sur quelqu’un, d’apres mon experience.

    • Ophelie 4 mai 2015, 15 03 59 05595

      Salut Céline, 🙂

      Merci de ta visite dans les commentaires 🙂

      Haaaa voilà jusqu’ici tu avais échappé à la déferlence hopo 🙂 et son exotique dénomination…
      Bon, apparemment de dire, je suis désolée, pardon ne flagelle pas tout le monde ;-). Mais mon article était une invitation à se poser la question: qu’est-ce que je ressens dans mon corps quand je pratique hopo? Parce que ça peut franchement avoir des conséquences sur sa santé.. Et quand à son efficacité c’est discutable, mais je crois que le but de neutraliser le mal à la racine n’est pas atteint… même si on est dans la prise de responsabilité. Après, ça dépend ce qu’on veut et chacun est unique par rapport à ses ressentis, sa vision du monde et ses besoins, alors mieux faire les choses à sa sauce…

      Salutations étoilées <3

  • Dorian 30 avril 2015, 16 04 27 04274

    Coucou Ophélie,

    Punaise, il est long cet article ^^
    Je ne suis pas un spécialiste de l’hopo mais j’ai du mal à comprendre ta position.
    N’est-ce pas une méthode qui permet justement de transmuster certaines mémoires ou énergies basses ou de meilleures ?
    Cela permet littéralement d’évacuer certaines tensions et comment tu le dis dans ton expérience, le souvenir paraît plus lointain et moins influent, signe qu’il y a eu un shift énergétique.
    Peut-être qu’à l’origine, cette méthode était encore plus efficace, et le force du groupe est toujours un vrai atout. Mais je pense aussi que la méthode simplifiée d’aujourd’hui permet tout simplement de changer ce qui fait obstacle en nous en chemin débroussaillé (et je prends les racines avec).
    Ouvert à la discussion bien sûr ^^
    Au plaisir !
    Dorian

    • Ophelie 4 mai 2015, 15 03 39 05395

      Salut Dorian,:-)

      Oui long, t’as pas baillé au moins cette fois?,-). J’aurais peut-être dû étaler en 2 parties… Mais bon comme je me suis étendue sur le fait que selon moi l’hopo ne répond pas à ses promesses, il fallait bien que je partage ma technique de nettoyage;-).

      Le hopo de l’époque, là je ne me prononce pas, parce que c’est flou au niveau des sources et des interprétations. Mais j’ai lu le livre de Joe Vitale, zéro limite, qui est la référence du hopo actuelle… Et très clairement il apparaît que le hopo, c’est plus compliqué que de réciter une formule, même si on est dans la conscience de ce qu’on dit… Le problème, c’est que ça dépend aussi des passages du livre, qui manque vraiment de cohérence. Vers la fin, Joe propose de simplifier le hopo à un simple je t’aime. De quoi se retrouver dans le flou…

      J’ai de sérieux doutes que l’hopo tel qui l’est enseigné, aujourd’hui permette de transmuter une mémoire. Je pense que ça permet juste de temporairement s’éloigner du problème. Beaucoup de gens reportent que « leur problème » remonte à la surface après un certain temps.
      Je pense que c’est l’accès à la mémoire qui est modifié, mais que la mémoire en soit, n’est pas neutralisé. Quand j’ai testé l’hopo, je n’ai pas ressenti de shift au niveau de mon énergie, je n’ai pas senti ce relâchement d’une mémoire qui quitte le corps… Par contre je me sentie mal, parce que de réciter un boucle des « je m’excuse et pardon », ça sabote l’énergie….

      Es-tu d’accord que chaque mot qu’on prononce affecte notre énergie? L’état d’esprit dans lequel on est aussi…
      Je vois en séance les conséquences de ce qu’il se passe dans notre tête. Typiquement, les personnes qui sont toujours en train de s’excuser et d’être désolé, énergétiquement elles ont « les jambes coupées », un manque de stabilité dans le bas du corps et ça nous donne de l’arthrose des hanches, des genoux, fragilisation de l’ossature, risque de fractures et co… des gens qui ont de la peine à avancer dans leur vie…

      Mais en fait as-tu déjà essayé le hopo? Et comment est-ce que tu gères un truc dans ta vie qui se répète sans cesse, une peur, un blocage, ou bien toi t’es totalement libéré ? 🙂

      Merci de la visite, je m’en vais chez toi…. 😉

      • Dorian 4 mai 2015, 20 08 56 05565

        Tu te fous de moi avec les bâillements !!! ^^
        C’est clair que les mots ont une importance ! Ils ont surtout l’importance qu’on leur donne bien que certains soient très chargés d’une façon collective.
        Hopo je préfère dire que je n’ai pas essayé car j’ai appliqué le processus sur certaines choses mais je n’ai pas assez approfondi. Ce que tu dis sur le pardon, les jambes coupées, etc, c’est assez troublant.
        Mais l’énergie liée à Hopo, c’est l’amour ! Le pardon est extrêmement puissant quand on a des choses brisées en nous mais le véritable sentiment qui prend le relai et qui englobe tout est l’amour. Toute technique qui nous permet de développer ce sentiment et de l’exprimer dans sa vie est bon à prendre. C’est mon point de vue en tout cas 🙂
        Bises
        Dorian

  • Laurence 25 avril 2015, 9 09 04 04044

    Bonjour Ophélie,
    Je l’utilisais souvent à une époque et moins maintenant (juste de temps en temps) ; en fait, c’est surtout quand j’ai déjà compris un schéma, donc à la fin, que je l’utilise pour annuler les effets négatifs de ma part vis à vis des autres. Je ne l’utilise donc pas forcément de la manière « classique » en répétant juste les mots dans le vide, mais en agissant bien au niveau du schéma de base..
    Mais ton point de vue m’a fait prendre conscience que si on le fait sans aller vraiment à la « vraie » racine, ça ne fait que « repousser le problème » et non le régler vraiment, ce qui explique pourquoi des fois je ressentais bien des effets quand même (mais juste provisoires) tant que le schéma n’est pas vraiment compris et libéré à la base.. C’est clair en tout cas que ça ne peut pas fonctionner « juste comme ça », sans comprendre un minimum le pourquoi du comment du schéma à régler en soi..
    Et j’aime bien ta méthode à la fin, car au moins on va directement au problème de base, de manière simple et efficace ; alors que soi-même, sans méthode, on peut galérer un peu parfois à démêler tout ça !
    Et le fait de dire que tout est de sa propre faute, je ne vois pas ça comme ça en fait : pour moi, ça concerne juste « ma » partie, et la partie de l’autre lui appartient à lui.
    D’ailleurs, pour éviter de dire les mots « Désolé(e), Pardon, Merci, Je t’aime », s’ils nous gênent, on peut juste dire « Ho’Oponopono » plusieurs fois et ça marche aussi, sans l’effet négatif des mots eux-mêmes, si on ne se sent pas en accord avec eux..
    En tout cas, ton article est très intéressant, et même s’il reflète effectivement beaucoup « ton » point de vue, il a le mérite de nous faire réfléchir et de confirmer que si on a comme but principal de régler le schéma à la racine, il faut aller plus loin que cette méthode, qui n’agit qu’en « surface » !

    • Ophelie 5 mai 2015, 16 04 54 05545

      Salut Laurence,:-)

      Merci pour ta visite et participation au débat hopo!:-)

      Super intéressant ton point de vue, ce ressenti qu’il manquait quelque chose au hopo, d’où cette idée de le combiner avec une réflexion plus approfondie de l’origine du « problème ». Après, c’est pas le chemin de tout le monde d’aller creuser, même si on est tous là pour évoluer, donc l’hopo a quand même sa raison d’être finalement. J’avoue bien volontiers que mon point de vue découle d’une sérieuse crise de vie où j’ai pas eu cette possibilité de remettre les choses à plus tard. Et le message que je transmets à travers mon blog, je m’en rends compte de plus en plus, est destiné aux personnes qui sont sensées elles aussi allez explorer leurs profondeurs. Mon article est justement une invitation à aller faire cette exploration en douceur, et s’éviter ainsi de se retrouver « méchamment » coincé dans sa chrysalide, coupé du monde… C’est que des fois ça peut faire mal, si on remet à plus tard.. notre âme ne nous fait pas de « cadeau » quand elle souhaite être entendue!

      Au niveau de la responsabilité, j’adhère au fait qu’on est co-responsable de tout ce qui se passe sur la planète. Après c’est vrai que je ne me sens pas concernée à nettoyer des choses que ne m’affectent pas directement. Et la question que je me pose, au sujet du Dr. Len qui a soigné les prisonniers sans jamais les voir : est-ce qu’il leur a vraiment rendu service en les déresponsabilisant de leur part? Le sentiment que ça rejoint un peu ta position?!

      Quand j’ai lu ton commentaire pour la première fois, je me suis dit mais quelle bonne idée, de juste dire Ho’oponopono pour éviter, le pardon et je suis désolée. Mais en fait il est d’une lourdeur ce mot… je crois que c’est pour ça que j’ai même eu de la peine à l’écrire, j’arrive pas à entrer dans sa vibration, ça me plombe… Je crois que pour moi c’est définitif, avec hopo on n’ est pas fait pour évoluer ensemble!!!

      Salutations du coeur, merci <3

  • Claude-Evelyne 24 avril 2015, 14 02 35 04354

    Hello Ophélie,
    J’ai pratiqué et il m’arrive encore -très occasionnellement- de pratiquer le Hopo. Je ne vais pas ressortir la paperasse, ni les livres, mais formuler comme je le ressens :
    « ..je suis désolée.. » de ou pr cette situation… Sur l’inspir, de manière à ne pas exprimer de la tristesse ou culpabilité.
    « ..pardonne-moi »… de mon acte/réaction
    « Merci, Je t’aime »… avec Amour
    Eh bien Oui cela marche pour autant que l’on soit dans le lâcher prise.
    J’ai de très bons souvenirs d’états d’âme en lisant les livres sur le sujet 😉

    Maintenant, en te lisant, je suis aussi ok avec toi. On a pas la preuve du travail en profondeur du Hopo…. C’est une prière Hawaïenne et je respecte, comme toutes les prières du monde, elles ont certainement leur rôle à jouer….
    Il y a le mot « Croyance » qui surgit dans ma tête, s’agit-il d’une croyance ou d’une prière ?….. Me réjouis de te lire 😉
    Gros bisous du coeur
    Claude-Evelyne

    C’est dans le lâcher prise que cela se passe.

    • Claude-Evelyne 27 avril 2015, 10 10 21 04214

      Je voudrais ajouter un commentaire à propos des affirmations. Oui Ophélie tu as raison et merci de nous éclairer, une fois de plus, sur les affirmations, nous concernant, que l’ont peut trouver dans les livres.
      Alors que penser de la méthode de Daniel Sévigny ?.. J’ai eu l’occasion de suivre un stage 2 jours à Neuchâtel il y a qques années. Il nous a cité plusieurs exemples le concernant et…. oui cela marche.
      Et de la méthode Silva ?
      J’ai une amie qui depuis plus de 30 ans pratique la méthode Silva. Elle demande tout à l’Univers. Une place de parque, un endroit pour un lieu de travail, une nouvelle voiture (d’occase)de couleur X….un voyage chez l’habitant.. Bref, c’est bluffant, elle obtient tout dans un délai plus ou moins proche. Si pas de réponse … elle laisse venir, dans le lâcher prise.
      Perso, j’ai essayé. Pour la place de parque en ville SUPER ça marche !!! Plus aucun doute 😉 Pour le reste….. euhh .
      Sa technique ?… être centré dans son coeur et demandé à l’Univers sans émettre de doutes.
      Que penses-tu Ophélie ?
      Gros bisous

      • Ophelie 29 avril 2015, 16 04 13 04134

        Coucou Claude-Evelyne,:-)

        Hooo tu me poses des colles là! 😉 Daniel Sévigny tu connais mieux que moi apparemment, j’ai juste lu un de ces livres.. Mais là du coup je me suis dit et bien je vais le ressortir, vu que de toute façon je suis entre 2 bouquins… He bien, il s’est volatilisé, peut-être entre d’autres mains qui en avaient plus besoin que moi, ou un petit clin d’oeil de l’univers qu’il fallait pas que je m’attarde?;-)
        Bon Daniel si je me souviens bien, il parle d’attraction, contrôler ses pensées, demander à l’univers…?

        Dans son dernier livre, « Zéro limite », Joe Vitale (un des intervenants du film du Secret) parle de l’hopo… J’ai lu ce livre quand même avant de publier l’article. Il avoue une de ses récentes prise de conscience… suite à ces nombreuses rencontres avec le Dr. Len, Mr Hopo, il s’est rendu compte que l’inspiration c’est plus puissant que l’intention, et du coup il se demandait si il devait retirer du marché un de ses précédents livres, « Attraction factor »… Et là le Dr. Len lui rétorque que c’est une étape intermédiaire, et que ce livre reste utile pour beaucoup de monde.

        Je pense que quand on est en mode intuition, qu’on a intégré son âme, qu’on est énergétiquement connecté au centre de l’univers, on a plus besoin de demander, on sait, on est… ça fait parti de nous…
        Mais pour pouvoir intégrer ses vibrations, faut d’abord nettoyer… Nettoyer, Intégrer… tu connais la chanson 😉

        Et la méthode Silva, ça doit faire plus de 10 ans. Je m’étais inscrit à un webinaire, j’ai jamais pu y assister, comme aux suivants d’ailleurs… Après 2 ans, La dame qui organisait les rencontres à décider de me rembourser mon argent, un signe de l’univers?;-)

        Merci pour tes partages et invitations à la reflexion!:-)
        salutations du coeur <3

    • Ophelie 29 avril 2015, 15 03 05 04054

      Hello Claude-Evelyne,:-)

      Merci pour ta participation au débat :-), j’aime ta proposition d’utiliser la respiration. Ca m’arrive de ressentir à expirer une énergie, quand je fais du nettoyage et qu’il y a une petite résistance… Donc si j’ai bien compris, toi tu expulses la culpabilité?

      Et la question est : est-ce possible de vraiment pouvoir lâcher prise, si on n’a pas compris pourquoi c’était là? Accepter aveuglement? Au niveau de ma conscience, moi c’est pas possible, j’ai cette sensation de mettre le truc dans un tiroir, pour ne plus le voir. Ca demande peut-être cette capacité à faire entièrement confiance à l’univers, avoir une foie sans faille? C’est fou, mais je me sens coupée de mon pouvoir personnel, à devoir accepter sans comprendre…

      Mais dans le fond, je résonne aussi avec le hopo, parce que l’idée de base, c’est d’être dans la responsabilité de ce que l’on vit. Parce qu’on pourrait aussi être dans le fameux, c’est la faute des autres ;-)… Et l’idée du nettoyage, j’adhère complètement aussi, après j’ai des doutes sur la forme et la profondeur. L’idée de prière me chicane aussi un peu, parce qu’on s’en remet à une autre entité que soi, du coup ça nous rapetisse dans notre énergie et nous déconnecte de notre propre pouvoir.

      Salutations du coeur <3

  • Annie 24 avril 2015, 9 09 00 04004

    Bonjour Ophélie
    Je pratique le hopo depuis 2 ans environ et je suis sure que cette technique a été bénéfique pour moi. Au début de ma pratique, j’attendais un résultat, quelques choses qui me prouverait que « ça marche », et j’étais déçue, un peu comme quand on dit je positive, je positive et rien ne fonctionne. Puis je me suis mis à me détacher du résultat, je faisais cela en conscience, en fait je pratique avec mon pendule.
    Ex : je me dit qu’il faudrait travailler sur un problème familial avec ma grand mère, je fais des petits post-it et je demande sur quoi je dois travailler, quand j’ai défini la phrase avec laquelle je dois faire le hopo, je demande combien de fois je dois la faire, ça peut aller de 30 à 400 voir plus et après je commence. En suite je ne cherche pas à voir le résultat, mais je sais que ça marche.
    un ex : je savais que ma mère ne venais jamais me voir sauf si elle avait besoin de moi, alors qu’elle se rendait chez ma sœur très souvent, j’ai demandé pardon je me suis excusée , merci je t’aime( je ne sais plus exactement la phrase) puis j’ai lâché prise sans attendre de résultat, le lendemain c’était un dimanche, ma mère m’appelle et me dit tiens j’ai envie d’aller prendre un café cette aprem tu es là ?? comme ça sans besoin particulier juste prendre un café, voilà à quoi ça sert le hopo, j’ai beaucoup d’autre anecdote comme celle là, c’est du vécu.
    Je ne sais dans quelle mesure les choses bougent, ce que je sais au fond de moi c’est que nous sommes responsable de ce qui nous arrive et nous entoure, peut être que je ne suis pas prête à faire un autre travail en profondeur comme tu pense, mais j’avance à mon rythme avec cette méthode. Ce que je vois aussi, c’est justement en faisant ces nettoyages depuis 2 ans maintenant, mes problèmes remontes doucement, au lieu de voir cela comme insurmontable, tout à un sens, tout s’emboite, je demande sur quoi je dois travailler, cela fait remonté une autre mémoire et je lâche et ainsi de suite, quand j’ai des flashs sur une histoire de mon passé et que je me vois il y a 2 ou 3 ans, je pense réellement que je n’aurais peut être pas pu y faire face et là je suis prête. Je peux dire que c’est grâce au hopo. voilà c’est mon histoire et ce matin en lisant ton texte, je me suis dit elle a s’en doute raison, je me fais des films et tout et tout (mon petit vélo c’était mis route loll) et après j’ai écouté mon cœur, et je me suis dit elle a ses raisons et moi j’ai mes raisons.
    Heureusement nous sommes différent et choisir la méthode qui nous fais avancé est le plus important, peut être je me trompe, peut être que non, ce que je sais au fond de moi c’est que j’ai une chemin et que je dois décidé si je tourne à gauche ou à droite. Et là ce matin je devais vous dire cela, parce que même si c’est une croyance, pour l’instant c’est elle qui me fait avancé sur mon chemin.
    Que votre journée soit belle !!
    Je vous aime

    • Ophelie 26 avril 2015, 19 07 02 04024

      Annie,:-)

      Moi aussi je vous aime 🙂
      Et j’aime votre témoignage ! En effet si pour vous ça fonctionne, si vous vous sentez bien avec cette technique et bien dans votre vie, pourquoi aller chercher plus loin. Et votre histoire est inspirante, dans ce sens que vous avez adapaté l’hopo à votre sauce en y ajoutant vos propres ingrédients, comme le pendule, le non-attachement, les post it…:-)

      Je suis contente si mon article vous a permis de vous positionner et vous conforter dans ce que vous ressentez juste pour vous. C’est d’ailleurs ce que j’ai vécu à lecture de livre de Joe Vitale, sur l’ho’oponopono. Avant ça,j’avais encore quelques doutes quant à mon opinion sur l’hopo. Mais plus j’avançais dans le bouquin, plus je me disais : haaaa non là, je suis pas d’accord…

      Et on se rejoint quand même sur l’idée que d’être dans la conscience de ce que l’on vit au quotidien est nécessaire, et que parfois on a besoin d’un bon nettoyage pour s’éviter une grosse crise. Après, on n’est pas d’accord sur la forme et la profondeur, mais dans la globalité on est sur la même longueur d’onde je trouve 😉

      Et je suis quand même sincèrement désolée 🙂 de vous avoir incité à monter sur votre petit vélo… j’ai aussi fait du vélo avant de publier l’article ;-). Mais comme on a chacun notre chemin à prendre, avec plus au moins des bosses, à nous de choisir la vitesse et la direction!

      Salutations du coeur <3, et merci de votre contribution au débat hopo, c'est précieux...:-)

  • Nicolas 24 avril 2015, 7 07 26 04264

    Hello, je partage ton avis sur les techniques de ce type qui résolve le symptôme mais pas la problématique. Néanmoins c’est juste pour certaines personnes à un moment juste. Cela n’est plus dans les énergies du moment qui sont au nettoyage profond mais seulement pour les âmes qui l’ont choisi, les autres resteront peut-être à Hopo. Ce qui est juste pour toi aujourd’hui (ça l’est pour moi aussi) ne l’est pas pour tout le monde, on voit suffisamment de gens qui n’avancent pas malgré tous les moyens qui sont devant eux. C’est leur choix. Je vis aussi un nettoyage intense mais parce que je le veux et que je prends le risque ou plutôt la chance, peu de gens au final le font si tu regardes bien autour de toi. C’est ce que j’observe en tout cas, il ne faut pas les blâmer mais leur montrer les portes qu’ils ouvriront s’il le veulent, ce que tu fais brillamment dans cet article. 🙂

    • Ophelie 24 avril 2015, 7 07 55 04554

      Bonjour Nicolas, 🙂

      Immense merci pour ton commentaire, j’aime bien comme tu exprimes la chose, que c’est juste pour certaines personnes, parce que leur choix au niveau de l’âme. Et j’avoue que j’ai cette tendance à l’oublier… parce que ça n’était pas mon choix…

      C’est clair que j’ai cette inclination à pousser les gens à aller plus loin. Je relisais mon article ce matin… et le temps de quelques minutes je me suis dit houlalala, j’impose quand même beaucoup de mon point de vue. Mais d’un autre côté je sens et sais que c’est mon rôle, d’être là pour ceux qui à un moment donné ressentent cette envie d’en finir une fois pour toute, à tourner en rond… Et parfois, il faut secouer un peu les cocotiers pour créer une impulsion à avancer 😉

      Je suis contente de savoir que malgré tout, je suis restée dans le respect de ce choix de certains à vouloir trouver la paix sans forcément aller au fond des choses.

      Merci de la visite 🙂

      • Nicolas 24 avril 2015, 8 08 49 04494

        C’est juste pour toi si tu exprimes ton « je suis ».

        • Ophelie 26 avril 2015, 18 06 36 04364

          🙂 merci…

  • gilberte 23 avril 2015, 21 09 41 04414

    Bonjour Ophélie,
    ton article est VASTE, j’ai beaucoup à dire. En effet depuis le 10 Avril, je suis perturbée, crevée. Je me maintiens, j’attends que ça remonte, quand dis tu que ça va remonter?
    je suis fatiguée, j’ai envie d’aller lire au lieu de bosser sur mon blog, et j’ai lu ton article. Poussée d’adrénaline! beaucoup de sujets abordés, je commence par le ho’oponopono:
    je ne suis pas spécialiste; plutôt touriste sur ce sujet. j’ai pris quelques notes:
    -Ho’oponopono c’est se mettre en paix
    -Je suis désolée : mettre un arrêt à la culpabilité ( notion très jesuite)
    Quand on dit qu’on est désolé il n’y a pas de notion de bien ou de mal ( notion jésuite), c’est poser un arrêt dans l’enchainement des pensées.
    -Pardon : c’est pardonne moi comme je me pardonne. Pas de notion de bien ou de mal, je me pardonne de vivre cette situation aussi mal. Ca fait du bien d’arrêter de vivre une situation mal ! non ?
    -Je te remercie : je t‘ai entendu, point barre. Je ne juge pas, j’entends ce que tu dis.Remercier même pour des choses dures, ça calme.
    -Je t’aime : c’est du partage, du don. Ca fait du bien, non ?
    C’est aussi dire je m’aime .
    -je crois que de changer en soi change les autres autour. C’est difficile, mais ça a beaucoup plus d’effet que dire tu devrais faire ceci, cela. Quand on travaille sur soi, on travaille aussi pour l’univers.
    -Personnellement je crois que nous vivons dans une société qui se veut laïque mais qui est très marquée par la culture jésuite, dans l’inconscient collectif, : la culpabilité, la culture du manque, le doigt pointé sur le fauteur de troubles, celui qui est en dehors des normes, pas normal.
    -Je m’adresse à qui ? A moi essentiellement. Il y a bien une relation à Dieu, mais qu’est ce que Dieu ? mon créateur, l’univers dont je fais partie comme les plantes, même les « mauvaises herbes » qui ne sont pas si mauvaises que ça.
    -Creuser ? mais tout le monde ne peut pas creuser, n’a pas envie de creuser. Et creuser où ? Il faut avoir entamé une sacrée démarche spirituelle pour creuser. Il ya des gens qui vivent loin de ces préoccupations, ne savent même pas que le mot creuser existe.
    -pour finir, je suis désolée de ne pas être en accord, je me pardonne et j’ose écrire ce commentaire, je te remercie de ce super article, j’adore ce que tu fais et dis, c’est toujours un plaisir de te lire.
    -j’écrirai un autre commentaire sur la suite de l’article, maintenant je vais lire, je n’ose pas le dire, le dernier de Florence Arthaud, cette nuit la mer est noire! c’est vrai que je suis vraiment fatiguée, et j’ai envie de plonger sous l’eau.
    Eh oui j’adore la mer, j’y vis et c’est merveilleux.
    Merci pour ce nouvel article plein de vie
    A bientôt

    • Ophelie 26 avril 2015, 18 06 31 04314

      Bonjour Gilberte, 🙂
      Merci d’avoir pris le temps de participer au début Hopo, alors que tu es fatiguée… La période entre les éclipses a fait remonter à la surface ce qui en nous demandait à être nettoyé. Phase très éprouvante :-(. Je t’invite à essayer d’amener à ta conscience, ce qui s’est passé dans ta vie durant la période du 15 mars au 7 avril, quelles étaient les difficultés auxquelles tu t’es retrouvée à faire face ? Et ensuite permets-toi de lâcher tout ça. Respires profondément et émets cette ferme intention de lâcher… Cette impression que tu traînes un truc derrière toi, comme un nuage noir, qui d’ailleurs ne t’appartient pas… Tu peux me faire signe en message privé si au cas 🙂

      Les mauvaises herbes qui ne sont pas si mauvaises que ça, oui elles ont aussi leur raison d’être dans l’équilibre écologique 🙂 . Les limites de ma métaphore…. Peut-être pour nous montrer que la terre est fertile et que de belles choses peuvent en émerger ?!?

      C’est sûr qu’on pourrait débattre sur la réelle signification du pardon et du, je suis désolé, j’y ai d’ailleurs fait quelques allusions dans mon article… Et je dois avouer que je ne connais pas du tout la perspective des Jésuite en la matière. Donc là, tu m’apprends quelque chose 🙂

      Mais le message que je souhaite surtout transmettre est lié à notre ressenti. Parce que de dire des choses avec lesquelles on pourrait être en accord, oui à un niveau mental, mais avec lesquelles on serait en désaccord à un niveau sensoriel, je pense que c’est contre-productif. C’est comme lorsqu’on se force à faire quelque chose qu’on n’a pas envie, ou qu’on le fait pour faire plaisir à quelqu’un, dans ces cas-là, on sabote notre énergie. Ce qui à long terme, amène l’apparition de symptômes physiques. Mon idée, c’était d’inviter chacun à aller dans son corps et à observer ce qu’il se passe en pleine action hopo, ou autres techniques…

      Je pense qu’on est tous venu sur terre pour évoluer, après à différents niveaux… en fait c’est selon le choix de notre âme, comme Nicolas l’a mentionné dans son commentaire. Et être préoccupé par un désir de creuser, ça n’est pas mieux ou moins bien, chacun son rôle…

      Mais ce que j’observe, c’est que plein de gens ont cette conscience d’être bloqué, d’être limité, de n’être pas là où ils devraient être… Ca fait souvent des années que ces personnes essaient d’avancer dans leur vie et que rien n’y fait. Alors mon article, c’est pour leur dire, et bien voilà peut-être pourquoi vous êtes toujours bloqué, malgré tous les efforts que vous avez déjà mis en place. Il faut creuser… et à la fin de l’article, j’explique quand même comment le faire, et en détails ! Mais c’est sûr que pour certains, la technique que je propose ça va être du chinois… Il faut déjà avoir fait un bout de chemin au niveau de son développement personnel.

      Et ce que j’observe aussi, c’est que depuis 2012, plein des gens vivent des crises de vies qui dépassent tout entendement. Et c’est lié à la terre qui avance dans son évolution et qui nous invite à la suivre, à creuser… Si on résiste et si on n’a pas la compréhension de ce qu’il se passe, ça fait mal…

      En fait dans mon blog, je m’adresse aux gens qui ont déjà fait un bout de chemin… Et honnêtement, je pense que la majorité des gens me prennent pour une allumée après une minute de lecture… 😉

      Je me suis rendue malade à tenir ma langue dans ma poche… Alors je t’invite à dire ce que tu as sur le cœur. Mes commentaire sont ouverts aux dialogues, je sais que notre discussion va inspirer plein de gens, même si on n’est pas d’accord… Ca va certainement aider des gens à se positionner dans leur vie, d’un côté ou d’un autre. Comme tu dis, il n’y a pas de juste, il n’y pas de faux… Ma vérité reste ma vérité, et à chacun de trouver la sienne !

      Merci du fond du coeur pour ta sincérité et contribution à ce dialogue.<3 Et ton blog est formidable ! Au fond je ressens notre intention comme étant la même, donner de l’espoir aux gens, en partageant notre vécu !;-)

      Salutations du coeur

  • Danièle de Forme et bien-être 21 avril 2015, 17 05 34 04344

    Bonjour Ophélie,
    Tu nous tiens en haleine jus qu’à la fin., malgré la longueur de l’article. Mais que peut-on faire sans l’hopo??? Peuvent s’écrier certains…
    Ton point de vue rejoint le mien. J’ai essayé comme tout un chacun qui s’intéresse à son être profond et moins profond et comme toi je n’ai pas adhéré, du tout, du tout. Je me suis demandé si ce n’était pas mes nombreuses années de pensionnat chez les sœurs qui m’avaient influencée. Peut-être pas. Pour mon être intérieur, je pratique la méditation guidée l’éveil de la Kundalini avec Shri Mataji, la fondatrice de Sahaja Yoga. Et puis aussi je mets en application quelques bons principes de Monsieur Émile Coué , un précurseur en matière e développement personnel.
    Merci pour ta participation.
    Belle et douce journée.
    Danièle

    • Ophelie 22 avril 2015, 16 04 24 04244

      Bonjour Danièle,:-)

      Merci de m’avoir octroyé un délais supplémentaire,;-) oui quand j’écris, je pars dans toutes les directions… J’aurais pu encore continuer un bout, mais faut quand même que ça reste digeste;-). Mais je pense que j’écrirai une suite, parce qu’il y a encore 2 aspects de l’hopo que je trouverais intéressant à débattre. Et certainement qu’il y a aura des réactions, donc ça sera intéressant de compiler tout ça

      Je suis heureuse de te savoir dans mon camp, parce que sur le net, je n’avais pas trouvé d’avis dans ce sens. Au préalable, j’avais aussi fait une enquête auprès de mes proches, et on était arrivé à la conclusion que l’hopo est peut-être une transition… une étape avant d’aller plus profond…?!?

      J’ai aussi été élevée catholique et je n’ai jamais adhéré, j’ai toujours eu ce sentiment qu’il y avait autre chose. Et ce sentiment qu’en fait la religion nous maintient éloigné de notre vraie nature. Comme toi, influencée peut-être?!? Mais je pars du principe que mon ressenti est fiable…

      Merci à toi pour l’organisation,
      Salutations du coeur 🙂

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